1. MAMAN CHAPERONNE SA FILLE POUR UN RENDEZ-VOUS GALANT


    Datte: 04/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... "Maman, c'est n'importe quoi! Tu es sensée assurer mon intégrité physique et ma fidélité envers mon mari! Tu n'es pas prévue pour affoler les matous! Déguisée comme ça, tu vas te faire violer et moi avec!" Dis-je en souriant. "Est-ce que Papa t'as vue habillée comme ça?" "Où serait le plaisir si je ne pouvais pas faire des choses derrière son dos de temps en temps?" dit-elle, sournoise. Juste au même moment, Marc est arrivé chez ma mère avec son chaperon. Cet un ami de Marc qui s'appelle André et qui est bâti sur le même moule que Marc. Aussi sexy, macho et sûr de lui que peut l'être Marc. Heureusement que j'ai maman avec moi, pensais-je, sinon je pourrais avoir de sérieux problèmes. Marc ignorait que mon chaperon c'était ma mère. Je pensais que lorsqu'il l'apprendrait, cela calmerait sa libido et qu'il comprendrait qu'il n'avait aucune chance avec moi: "Marc, André, voici ma mère, Magalie." Ils l'ont tous deux accueilli d'un grand sourire. Apparemment, ils se moquaient bien de savoir qu'elle était ma mère et son accoutrement ne les inquiétait pas du tout. André a dit: "Viens avec moi sur la banquette arrière, Magalie. J'aime ton costume. Petite coquine!" J'étais surprise de son audace puisqu'ils venaient de se rencontrer mais encore plus surprise quand maman s'est installée dans l'auto. André lui tint galamment la porte ouverte et, peut-être à cause de sa jupe si courte, ou par maladresse, elle offrit le spectacle de sa petite culotte blanche en dentelle aux deux garçons. ...
    ... Je me suis assise à la place du passager avant à côté de Marc et nous sommes partis en direction du club. Dès que Marc a terminé sa manœuvre pour quitter son stationnement, il a posé sa main sur mon genou. Affirmant ainsi son titre de propriété sur la femelle qui avait la chance inouïe de bénéficier de sa mâle compagnie. Pensant que j'allais devoir lutter toute la soirée contre ses mains baladeuses, j'ai préféré garder mes forces en estimant que son geste n'était pas extrêmement grave et j'ai laissé courir. J'essayais de me concentrer sur la conversation entre maman et André, mais la radio couvrait leurs voix. De temps en temps, un éclat de rire me faisait savoir que maman s'amusait bien. De temps en temps aussi, Marc me regardait en souriant, sûr de son charme, et profitait de l'occasion pour me caresser la cuisse. Quand il remontait un peu trop haut à mon goût, je posais ma main sur la sienne en disant: "Tss, Tss!" Arrivé au club, Marc est devenu très entreprenant et je dois avouer que je n’ai pas fait grand chose pour le calmer. J'aimais l'attention qu'il me portait, j'ai toujours aimé taquiner les garçons, je pensais qu'il ne pouvait rien m'arriver d'irrémédiable au milieu de la piste de danse, et j'ai vu maman très coquine avec André. Lorsque la musique devenait propice, slow ou autre, les lumières se tamisaient, et les couples s'enlaçaient. À ce moment-là, je ne pouvais pas surveiller de près leurs faits et gestes parce que j'avais beaucoup de travail à repousser les ...
«1...345...15»