1. MAMAN CHAPERONNE SA FILLE POUR UN RENDEZ-VOUS GALANT


    Datte: 04/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... retourner pour pouvoir garder l'attention sur Marc et sur ce qu'il faisait de sa main. Je me demandais quel spectacle maman offrait à André à ce moment-là. "Je te l'avais dit. Ta mère le sait mieux. Qu'en penses-tu, André?" Demanda Marc en jetant un coup d’œil dans le rétroviseur. Une série de grognements fut la seule réponse d'André. À cet instant, je voulais seulement l'allumer puis le vaincre. J'ai dit à Marc: "Bien. Je vais te montrer ma culotte, mais ta main reste là où elle est. Tu regardes, mais tu ne touches pas!" Je soulevais ma robe lentement pour lui montrer mon string en espérant qu'il ne pourrait pas discerner la moiteur de ma chatte. "Une culotte noire! Minuscule! Je pourrais la déchirer avec l'érection que tu viens de me donner!" Dit-il d'une voix basse. L'érection de Marc était parfaitement visible, et l'attention que je lui portais à ce moment me montrait à quel point j'étais troublée. Je me penchais un peu pour mieux apprécier l'état de son membre: "Ce doit être possible. Le tissu de ma culotte est mince et ton sexe me paraît bien rigide, mais ça n'arrivera pas. C'est pour cette raison que maman m'accompagne. Pour m'assurer que tu ne vas rien tenter!" Je le taquinais avec ma robe retroussée jusqu'aux hanches. "Je devrais pouvoir te caresser un peu, au minimum. Et je ne pense pas que Magalie s'en offusquerait, n'est-ce pas Magalie?" "Ooh!" André gémissait à l'arrière. Je ne voulais pas me retourner et prendre le risque de montrer mes fesses à Marc. J'ai ...
    ... entendu un son étrange, proche d'un bruit de bouchon qui saute. "Tu pourrais te détendre un peu, chérie. En plus, regarde dans quel état tu l'as mis! Sois charitable, aide-le! Un petit geste amical ne serait pas si grave!" "Maman! T'es pas sérieuse!" Dis-je en faisant volte-face, juste à temps pour voir disparaître la très grosse bite d'André dans la bouche de ma mère. "Maman! Qu'est-ce que tu fous?" Elle tétait vigoureusement le chibre d'André, et quand elle a ôté la bite de sa bouche, j'ai de nouveau entendu ce son caractéristique de bouchon de champagne. Elle m'a fait un clin d’œil accompagné d'un petit sourire embarrassé: "Tu croyais quoi? Que je n'avais jamais sucé une bite? Ton père adore ça, et pas que lui...!" Tout le temps qu'elle me parlait, elle a continué à caresser le chibre d'André qui gémissait, les yeux fermés: "Ooh! T'as une bouche d'enfer, bébé! Et tu suces divinement bien! N'arrête pas maintenant! Je vais refroidir." Il agrippa les cheveux de maman pour la ramener sur sa queue. Souriante, elle le reprit en bouche. Mon désarroi et mon malaise me provoquaient une émotion étrange. Ma chatte était plus mouillée que jamais en voyant la bouche de maman coulisser sur le mandrin d'André. En même temps, je me demandais si j'aurais la capacité d'engloutir un tel monstre! Songeuse et envieuse, j'aurais aimé que mon mari soit équipé d'un tel engin! Pendant ce temps, Marc avait continué ses travaux d'approche. En effectuant une rotation du buste pour regarder maman dans ses ...
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