MAMAN CHAPERONNE SA FILLE POUR UN RENDEZ-VOUS GALANT
Datte: 04/11/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... voiture s'était garée sur l'esplanade, j'avais défait ma ceinture de sécurité et à force de pivoter pour regarder derrière moi, j'avais replié ma jambe gauche sous mes fesses, écartant largement mes cuisses. Avec ma robe entortillée autour de mes hanches et l'écartement de mes jambes, la main de Marc avait lâché mon poignet pour rejoindre sa cible, ma chatte. Il me caressait, me palpait, me triturait la chatte par-dessus le fin tissu de mon string en cherchant tantôt mon clitoris, tantôt l'ouverture de mon vagin. Il ne pouvait plus douter de mon excitation en sentant l'humidité de ma chatte et je n'avais plus beaucoup de volonté pour l'arrêter. Marc a tourné son visage vers moi et m'a souri: "Continue de me branler, bébé. Je vais juste te rendre la politesse." Il murmura: "Où achète-tu tes culottes? Ce tissu est fantastique! Le contact avec ta chatte est génial, on croirait que tu es nue!" "C'est mon mari qui me les a offertes, je ne sais pas où ils les a achetées." "Ton mari a beaucoup de goût. Si minuscule et si mince. C'est un plaisir pour moi de te caresser. Quand je t'aurais baisée, je garderai ton string en souvenir!" André m'a apostrophé depuis le siège arrière, sa main toujours sur la tête de ma mère qui le suçait: "Ôte ta culotte et laisse-le mettre les doigts dedans, t'auras plus de plaisir!" "Pas question! Propriété privée! Défense d'entrer! J'appartiens à Joffrey depuis qu'on est mariés!" Maman faisait beaucoup plus de bruit maintenant en suçant la grosse bite ...
... d'André. Visiblement, elle y prenait beaucoup de plaisir et je me demandais si papa connaissait tous les talents de sa salope de femme! André appréciait beaucoup la bouche de maman et il l'encourageait à voix basse en utilisant des termes orduriers. Marc gardait un regard constant sur mon entrejambe grand ouvert. L'humidité de l'endroit et la caresse de ses doigts plaquaient le fin tissu sur ma chatte et, malgré la pénombre, je savais qu'il devinait les contours. Je caressais la queue de l'homme à qui j'avais voulu donner une bonne leçon, et je sentais ma bouche s'assécher à l'idée de sucer ce gros bâton de sucre d'orge. Je baissais les yeux pour regarder la main de Marc sur ma chatte. Le mince triangle de tissu avait légèrement glissé vers le haut et la ficelle qui devait se trouver dans la raie culière avait pénétré entre les grandes lèvres, ouvrant ma chatte en deux. Marc l'a vu, bien sûr, et son doigt est venu immédiatement en contact avec l'orifice de mon vagin. Je me sentais si bien sous sa caresse que je n'avais pas le cœur de le repousser. Je restais là, jambes écartées, me laissant tripoter la chatte, en masturbant cette bite énorme, et voilà que mes seins se réveillaient, réclamant un peu de stimulation. Pour la première fois de la soirée, je ne suis pas parvenue à retenir un gémissement qui a sonné comme un chant de triomphe aux oreilles de Marc. C'est à ce moment-là que le niveau sonore venant de l'arrière a nettement augmenté. Je me suis retournée pour voir ce qui ...