Le secret de Judith (1)
Datte: 05/11/2018,
Catégories:
Erotique,
Ce récit se situe dans la continuité de « Randonnée avec ma grande cousine infirmière… ». Mais Cécile la cousine est coincée à Paris, et la rando est bel et bien finie. Alors c’est une autre histoire, qui peut se lire presque indépendamment de la première. Résumé des épisodes précédents : en attendant les résultats du bac, Jean, tout juste 18 ans, a fait une randonnée de 4 jours dans les Pyrénées avec sa cousine Cécile qui, malgré ses états d’âme face à l’inceste, l’a initié aux joies du sexe. A la fin de la rando, elle l’a jeté dans les bras de Solène, étudiante, Parisienne comme Jean et âgée de quelques mois de plus que lui, qui est saisonnière dans un hôtel à Cauterets. Pour continuer son aventure avec Solène, Cécile a incité Jean à revenir y passer l’été après les résultats de son bac, en se trouvant un job d’été. Ce qu’il a fait. Il travaille en appoint dans un bar. CHAPITRE 1. Nature humaine. Cauterets. 17 juillet. Il fait chaud. Je regarde Solène. Elle est nue dans la petite baignoire naturelle du torrent. Elle est belle… tellement fine, élancée, gracieuse, légère. Sa peau blanche commence à peine à dorer légèrement. Elle resplendit dans la lumière. Je me souviens du lac… Cécile. C’est notre premier jour de repos commun avec Solène. Nous avons fait l’amour deux fois depuis ce matin, la dernière fois il y a à peine une heure, dans l’herbe de ce vallon merveilleux, en contrebas de la maison de sa grand-mère. C’était fabuleux mais… bien que nous n’osions pas nous ...
... l’avouer, nous n’avons pas encore su retrouver le plaisir cette folle soirée de juin. Solène me regarde en souriant. - Allez Jeannot, arrête de rêvasser, viens ! - D’accord, j’arrive… Je la rejoins dans l’eau, nu. Elle est vraiment très fraîche, mais par cette chaleur ça fait du bien. Bac en poche, je suis arrivé le 8 juillet. Et finalement le patron du bar m’a appelé tous les jours depuis, il a l’air d’apprécier ma motivation. De temps en temps il me prête à son voisin du restaurant, je ne sais pas comment ils s’arrangent, c’est leur problème. Il vient de me payer la première semaine. En espèces. En fait, je crois que j’ai compris ! - Dis, tu es sûre que personne ne peut nous voir ? - Mais non, le terrain est complètement privé, pas de sentier. Je te dis, c’est le paradis cette maison ! - Et ta grand-mère ? - Ah çà… je ne peux rien te garantir… enfin, je suis même sûre du contraire. - Hein !?? Tu déconnes ??? - Non, regarde, la voilà qui arrive… Sa grand-mère descend doucement vers nous à travers la prairie en portant un plateau et nous salue de loin : - Hello les jeunes ! Je vous apporte des rafraîchissements, ça vous dit ? - Super, Mamie, t’es vraiment chou ! Alors que je tente de me relever pour me rhabiller en catastrophe, Solène me retient et me glisse à l’oreille : - Laisse tomber, Jeannot. Ma grand-mère s’en fout, et moi aussi. Elle est hyper cool. C’est la plus grande baroudeuse que je connaisse. Je crois qu’elle a été plus ou moins hippie dans sa jeunesse… Elle sait ...