1. La mère de Thomas


    Datte: 05/11/2018, Catégories: f, fh, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, init,

    ... vrac. Je ne pense plus qu’à ça… Il faut dire que cette image est nettement plus agréable que ce que j’effectue en ce moment. Une fois le nettoyage terminé, je repars à la salle de bains, j’ouvre le placard, trouve la corbeille de linge sale. Le string d’Anne est là, comme une offrande. Je n’y résiste pas, je l’attrape et y plonge mes narines. J’ai l’impression de m’être emparé du Graal. Ce moment est merveilleux, je me trouve au milieu des affaires d’Anne, dans son intimité. Je la revois sous la douche, son corps sublime. Avec son string dans les mains, j’ai maintenant l’impression que je connais tout d’elle. Je reste quelques secondes à contempler, humer, goûter ces trésors, mais je dois me résoudre à sortir de la salle de bains. Je repose le string sur le reste du linge et sors. J’aurais aimé l’enfouir dans ma poche mais j’ai trop peur qu’ils s’en aperçoivent. Dehors, la musique s’est arrêtée et l’ambiance est complètement retombée.« Merci Thomas », me dis-je. Les plus téméraires parlent d’aller finir la soirée en boîte de nuit. Les autres pensent à rentrer se coucher. Moi je suis bloqué là, à jouer les garde-malade. Ils viennent tous me saluer, les uns après les autres : — Merci pour cette bonne soirée, et bon courage avec Thomas… Et ils partent, tous. Pas un pour rester m’aider. N’ayant plus rien d’autre à faire, je commence à ranger. Soudain, des phares apparaissent dans la cour, Anne et Patrick rentrent enfin. Je peste, je me dis qu’ils auraient été là dix minutes ...
    ... plus tôt, ils se seraient occupés de leur rejeton et moi je serais parti avec les autres. Puis Anne descends, et je ne peste plus du tout… Apparemment elle aussi a un peu trop bu, sa démarche et ses yeux brillants le dénotent. Ils viennent vers moi : — Déjà fini ? me questionnent-ils en cœur. Je leur relate la soirée et les exploits de leur fils ! Ils ont l’air de s’en moquer comme de l’an 40. — Pas trop en colère après lui ?— Si, un peu, je réponds, mais bon ça n’est pas très grave.— Il est pénible quand il a bu, comme sa mère, me dit Patrick en plaisantant. Anne essaie de protester, elle dit que ça va très bien et qu’elle est prête à le prouver, Patrick lui demande alors de faire cinq mètres en ligne droite. Elle accepte et se lance, au bout de trois pas, elle titube sur ses talons hauts. Je me précipite pour la rattraper, de justesse, nous tombons tous les deux. Elle m’est tombée dessus, sa jupe s’est relevée et ses fesses sont presque entièrement découvertes. Je la sens, tout contre moi, presque nue tant le tissu de sa robe est fin. Grâce à la pénombre qui règne dans le jardin, je profite de ces quelques moments pour laisser mes mains explorer son corps. Je la soutiens par dessous les bras en frôlant ses seins, je la tiens par la taille en glissant sur ses fesses, le contact de sa peau nue m’électrise et je ne peux réprimer quelques mouvements de bassin. Heureusement elle a trop bu et ne s’en aperçoit pas. Patrick nous regarde, amusé. — Dis donc Anne, quand tu auras fini de ...
«12...789...»