Sortie après le travail
Datte: 05/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... à notre hôtel, afin de passer une soirée agréable » tout en parlant, il a posé la main sur ma cuisse. Je le repousse doucement : « Non pas ici » . Pour eux je viens de donner mon accord et réglant les consommations, ils sortent, et je les suis. Je sais que je viens de prendre la décision de faire cocu mon homme, mais c’est son plus grand désir et là je vais aller jusqu’au bout et il ne le saura qu’à son retour. Finalement c’est directement à leur hôtel que nous nous rendons, et à peine la porte de l’ascenseur fermée, ils se jettent sur moi, me triturant les seins, pour l’un et me caressant les fesses pour l’autre. Deux étages seulement, mais quand la porte s’ouvre, j’ai déjà le corsage ouvert et un sein déborde de son balconnet c’est une main sous la jupe et les seins à l’air qu’ils m’entrainent vers la chambre ; heureusement le couloir est vide à cette heure. La porte à peine refermée, je me retrouve plaquée le dos au mur, l’un me plotant les seins et m’embrassant fougueusement, l’autre relevant ma jupe , écarte la mince bordure de mon string et me lèche le minou. Partagée entre le désir d’appartenir à ces deux males et l’idée que jean va être bientôt totalement cocu, je ne résiste pas, bien au contraire, j’écarte les jambes , m’offrant un peu plus à la langue qui me titille le clito ; je sens mon abricot se remplir de cyprine et mon envie d’être prise me stimule et entre deux baisers, je les supplie : « j’ai envie que vous me baisiez maintenant, tous les deux, après vous ...
... pourrez faire de moi ce que vous voulez, je vous appartiens » Je me rends compte que je me comporte comme une petite salope, mais c’est ce que je veux être ce soir et ils l’ont bien compris ; mes vêtements tombent au sol, et ils me plaquent à plat ventre sur le rebord du lit, les genoux sur le sol ; mes cuisses sont écartées et un gland se présente à l ‘entrée de ma grotte ; je ne l’ai pas vu mais vu la difficulté qu’il a à me pourfendre, je le suppose très gros et quand d’une puissante poussée, il se propulse dans ma chatte, non seulement il me remplit totalement, distendant mes parois, mais en plus il vient butter contre le fond de mon vagin ; je ne peux retenir un petit cri, tellement la possession est rapide et fougueuse, mais quand il se met à me pilonner, ma jouissance déferle , m’envahissant, déclenchant une coulée de cyprine ; sa queue maintenant me pilonne , glissant dans le fourreau graissé de ma semence. Alors que l’autre me présente sa queue à sucer, son copain me laboure la chatte ; puissants, rapides, profonds , ses coups de bite, me font vite monter dans les tours ; régulièrement je dois quitter la queue que je suce pour crier ma jouissance ; performent, il me possède longuement, se retirant parfois pour mieux me percuter en suite ; cette alternance me transporte vers de multiples jouissances, qui se traduises par des jets de cyprines ; c’est la première fois que je suis fontaine , ce qui décuple mon plaisir, et sans aucun doute celui qui me possède, car je sens ...