Jérôme
Datte: 05/11/2018,
Catégories:
f,
fh,
fhh,
hplusag,
extraoffre,
cadeau,
inconnu,
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
Masturbation
facial,
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
init,
journal,
confession,
... rigoler, mais réalisant ce vers quoi je vais, je lui demande comment cela va se dérouler. J’exprime quelques conditions, comme l’importance d’entendre un vrai non… Il me rassure en me répétant « Mais oui, tu verras… », mais le fou-rire permanent qui s’est engagé depuis le début de la conversation me laisse douter d’un brin d’ironie qui n’est pas sans m’effrayer légèrement. Nous arrivons enfin. Il me dit de me mettre à l’aise et revient avec une nuisette en plumetis – à sa fille, probablement – mais à ma taille. Je pouffe de rire, prétextant ne pas m’être préparée, en précisant que mon épilation n’est pas toute fraîche. Il me propose alors de me doucher, le temps de prendre des nouvelles de son ami. Il me donne tout ce dont j’ai besoin : serviette, rasoir, savon, et m’observe me laver le téléphone à l’oreille. Il me caresse les cuisses tandis que j’essaie, imperturbable, de ne pas me couper. Je me retrouve donc en petite tenue transparente sur le canapé. Jérôme, un peu impatient, me propose de rouler un joint ; je m’exécute gentiment. Son ami tarde à le rappeler, mais lorsque le téléphone sonne enfin, Jérôme répond sans ménagement « Mais gare-toi et viens à pied, je m’en fous, moi. Elle est là, elle t’attend, mec… » Un long silence puis il raccroche. — OK, il est en bas depuis un quart d’heure. « Il doit avoir la pression… » me dis-je intérieurement. On sonne à la porte ; un grand type à l’allure d’un rugbyman entre dans l’embrasure, un peu voûté ; il a l’air timide. Au bout ...
... de ses grands bras pendouillent une série de sacs pleins de choses à manger ou à boire. Il les brandit devant lui en s’excusant de son retard, l’air épuisé. Jérôme l’accueille d’un geste amical et me présente. Depuis le canapé, je m’avance avec ma nuisette et mon joint à la main ; il doit penser que je suis très décontractée, mais il faut bien avouer que dans ce genre de circonstances, je n’ai pas froid aux yeux. Je viens lui faire la bise, mais le premier contact est un peu crispé. Jérôme file en cuisine pour nous laisser faire connaissance. Le jeune homme a du mal à se mettre dans l’ambiance.« Allons-y doucement… » Je me sens investie de la mission de le mettre à l’aise. Nous commençons à discuter de tout et de rien. À cet instant je constate que même lorsque les choses sont convenues clairement à l’avance – en l’occurrence il vient pour une partie de jambes en l’air – ça ne paraît pas si évident de se jeter à l’eau ; comme s’il fallait d’abord se rencontrer normalement, comme on l’aurait fait dans un bar, avant de passer à l’action. Lorsque Jérôme revient avec des verres pleins, nous sommes en train de dire que c’est une situation pour le moins incongrue, du moins pour moi. — Pour moi aussi, je précise ! me répond-il en espérant sûrement me faire bonne impression. « Incongru » : ce mot revient tout au long de la soirée, tant et si bien qu’à la fin nous le disons tous en chœur avant de partir en fou-rire collectif. Jérôme, contrairement à son ami, est parfaitement à son aise ...