1. Chapitre Un - Lorsque cela commença


    Datte: 05/08/2017, Catégories: fh, hplusag, jeunes, couple, profélève, amour, fsoumise, hdomine, BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio, fdanus, init,

    ... (elle essaya quelques nouvelles positions avec lui, mais ne le laissa jamais la pénétrer en levrette). Il obtint même d’elle deux ou trois fellations, mais jamais complètes et n’eut jamais son consentement à répandre son sperme en elle ou sur elle, et surtout pas dans sa bouche comme il le lui demandait beaucoup trop souvent : toujours dans une capote. Le troisième ne passa qu’une seule nuit avec elle à l’occasion d’une soirée étudiante où elle avait bu beaucoup trop, tellement qu’elle se souvint seulement plus tard avoir été prise par lui, probablement sans préservatif, retournée sur le ventre, presque endormie, à moitié consentante mais trop saoule pour protester, se faisant chevaucher comme la fille facile qu’elle fut cette nuit-là, jusqu’à ce qu’il éjacule entre ses fesses et sur son dos, s’étant maladroitement retiré au dernier instant. Le quatrième, quant à lui, fut monotone à en mourir. Au début elle fut ravie de cet amant calme et passif sur lequel elle pouvait grimper sans inquiétude qu’il ne vienne trop vite, assurée ainsi d’avoir le temps de se conduire jusqu’à l’orgasme à chaque fois qu’elle le désirait. Mais lui ne faisait jamais rien ou presque ; elle le largua au bout de trois mois. Qu’attendrait Alexandre d’elle ? Elle savait qu’elle devait se fixer des limites, mais elle avait craint, à chaque fois qu’elle y avait songé, qu’une trop grande rigidité de sa part ne la fasse passer pour une gamine à peine dépucelée, sans vouloir non plus être prise pour une ...
    ... salope sans tabou avec qui l’on pouvait tout faire dès la première nuit. Julie imaginait bien qu’un bel homme comme lui avait déjà du trouver sans difficultés des filles dociles, y compris pour le sucer. Elle s’était donc résolue à cette idée : il faudrait qu’elle le fasse, mais pouvait-elle lui imposer la capote s’il ne l’entendait pas ainsi ? S’il le fallait, elle s’était même préparée à le faire en 69. Personne ne l’avait jamais touchée nue, donc encore moins léchée, mais elle y consentirait s’il le fallait. Ce qui la perturbait plus était d’avoir à s’offrir dans les positions où la femme est exposée ou soumise, par exemple couchée sur une table, pénétrée par un homme debout, ou en levrette. Elle s’était aussi résignée à accepter ce qu’elle aimait pour le moment le moins, sans pourtant le connaître : être pénétrée par derrière, surtout dans une vraie levrette. Car alors l’homme peut contempler sans pudeur un spectacle obscène où l’on montre, les fesses écartées, son cul sans aucune retenue. Inutile de dire alors que pour elle il n’était pas question pour le moment d’envisager que l’on puisse s’introduire en elle par l’orifice qu’elle avait encore de vierge. Jamais aucune femme ne devrait s’y soumettre, pensait-elle, car elle n’imaginait pas cela autrement qu’un viol, ne comprenant pas que l’on puisse y consentir, ni quel plaisir on pourrait y prendre. Perdue dans ses pensées, elle s’était un peu détachée des manœuvres en cours. Mais la réalité se rappela à elle lorsqu’elle ...
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