1. dans mon lotissement - première partie


    Datte: 06/11/2018, Catégories: Gay

    Dans mon lotissement Je suis arrivé dans ce département lors de mes quarante ans, suite à une mutation. J’ai trouvé à louer une maison dans un lotissement. J’ai découvert mon nouvel environnement, trouvé le supermarché, le boulanger, le médecin, la pharmacie. C’est cette dernière qui m’a surpris. Le pharmacien avait un drôle de look. Pas moche à regarder, sa coiffure était parsemée de mèches colorées, parfois en blond, tantôt rouges. Un jean toujours à la mode. Je le trouvais en décalage par rapport à sa femme plus classique.Mon jardin était séparé sur la droite par une haie, un monsieur veuf, d’une quarantaine d’année, élevant ses trois enfants, sur la gauche un grillage marquait la frontière avec une famille composée de trois filles, d’une mère et d’un père de mon âge, d’allure paysanne, négligé dans ses tenues, et faisant beaucoup plus que son âge. Après quelques mois, et plusieurs discussions avec le voisin de gauche, il me proposa de boire une bière. Il m’invita à passer par son garage, pour me faire entrer dans une pièce du dit garage. Mal éclairée, juste une table, un réfrigérateur, quelques verres. Des photos de femmes déshabillée ou presque, arborant des positions parfois gynécologiques décoraient les murs de parpaings bruts. Tout en buvant la bière fraîche à même la bouteille, il m’expliqua que dans la région, les gens aménageaient des pièces en dehors de l’habitation. Ils appelaient cela des « caves ». Certaines se faisaient dans le garage faute de place, d’autres ...
    ... dans une pièce bien aménagée, comme celle chez son frère Alors que j’étais dans le jardin, il me pour me présenta son frère. Il n’était pas très athlétique, plutôt rondouillard mais un visage plein de charme. La confiance s’installant, il m’apprit qu’il avait deux frères qui vivaient dans ce lotissement. Celui qu’il m’avait présenté – le plus jeune - était célibataire. Je commençais à m’intéresser à celui là. Lorsque la discussion s’instaurait, avec ce voisin, je posais quelques questions sur son frère, qui je l’appris plus tard s’appelait Daniel. J’arrivais même à savoir qu’il voyageait souvent avec un copain. Cette information m’encouragea d’en savoir plus. Toujours avec mon vélo, je passais du temps à me balader dans le lotissement à la recherche de la maison de Daniel. Cela dura plusieurs balades avant qu’au détour d’une rue je l’aperçus entrain de tondre sa pelouse. Il était en marcel blanc et short orange. Je l’observais de loin. Son marcel ne masquait pas son ventre, par contre, son short rebondit me laissait rêveur sur ce qu’il pouvait cacher. Je me suis approché pour le saluer, parler du temps qu’il faisait, idéal pour ce genre de travail. Je le complimentais sur son jardin que je trouvais très bien arrangé. Il me remercia. Lors de ce premier contact, j’ai pu constater que nos regards étaient encourageants. Je dois dire que j’ai fait du forcing pour l’apprivoiser jusqu’à ce qu’il m’invite à boire un verre chez lui. Ce fut un après midi. Cette fois, il était vêtu d’un ...
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