Impulsions comateuses (2)
Datte: 06/11/2018,
Catégories:
Divers,
... assez pur qu’elle colle sa tête contre le dos de son fils et respire bruyamment. — C’est une bonne chose de faite. Merci de m’avoir tenu m’man, ça m’a bien facilité les choses, dit-il. Remarquant que sa mère ne répondait pas, il se tourna. Isabelle s’écarta vivement de son fils pour ne pas tacher son t-shirt de la gangue gluante de sperme recouvrant le sexe de celui-ci. — Tu vas bien ? demanda-t-il inquiet. — Oui, oui. Elle inspira profondément. — Tout...va...bien, dit-elle avec circonspection en le regardant dans les yeux. Et toi mon chéri ? — Bien mieux et si tu pouvais me donner un coup de main pour me nettoyer. — Oui bien sûr. Sans rendre compte elle prit une serviette en papier et essuya la verge de son fils. — L’odeur est entêtante, dit-il avec un sourire timide. Elle hocha la tête. Elle passa la serviette sur les testicules puis de nouveau sur la verge puis de nouveau sur les testicules puis sur la verge puis sur... — Oh ! Maman si tu continues, je vais... Son érection reprit de plus belle. Elle jeta la serviette dans la poubelle. — Désolé je ne voulais pas, dit-elle le souffle court. Elle regarda de nouveau l’érection et déglutit. — Lave-toi les mains que je te ramène à ton lit après je viendrais nettoyer le lavabo, dit-elle avec un sourire crispé. Il se tourna, sa verge se balançant de gauche à droite en continu d’un mouvement hypnotique. — Laisse-moi faire, je peux nettoyer tout seul. ...
... –------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Karine entra dans la chambre, au moment où Théo retournait dans son lit. — Tout va bien ? Isabelle se retourna et sourit timidement. — Oui, ça va. Elle demanda à son fils : — On va boire un café, tu veux que je te ramène quelque chose ? — Une barre chocolatée quelconque, merci. Il reprit un livre au hasard dans la pile des non-lus. Elles marchèrent en silence. Karine devina que quelque chose clochait. — Ça ne s’est pas bien passé en fait ? Isabelle réfléchit soigneusement. — Combien de temps au minimum avant qu’il ne puisse rentrer à la maison ? — Moins d’un mois, peut être deux semaines, dit-elle. Qu’est-ce qui s’est passé ? — Je parle à qui en ce moment, le médecin de mon fils ou mon amie ? Karine la regarda en fronçant les sourcils et dit : — Ton amie, mais si tu ne me dis pas la vérité, je redeviendrais son médecin et nous changerons notre relation définitivement. Isabelle hocha la tête, se rapprocha et parla à voix très basse : — Donc si je te raconte ces quinze dernières minutes dans les moindres détails, tu ne t’emballeras pas ? Karine, l’amie, hocha sombrement la tête. Elle lui raconta tout dans le moindre détail, la seule chose qu’elle omit fut son dernier orgasme. — Tu l’as...commença à voix haute Karine. Sous le regard de son amie, elle reprit à voix basse : — Tu l’as aidé à se masturber ? Elle la regarda les yeux fous. — Mais pourquoi ? Isabelle blanchit en pensant à la sensation qu’elle avait ressentie. — Je ne voulais pas que ...