Impulsions comateuses (2)
Datte: 06/11/2018,
Catégories:
Divers,
... Dommage, j’espère qu’il t’en reste encore un peu ? — Je sais, je sais, désolé. Maintenant c’est sûr je ne vais plus le faire. Vous pouvez me croire. — Oh mon cœur s’il te plaît ! Tutoie-moi... Pendant qu’ils discutèrent, il avait accéléré son va-et-vient dans l’anus de Noémie. — Oh zut, dit-elle. Je ne vais plus tenir longtemps. Elle s’aperçut que malgré son éjaculation, Théo n’avait pas débandé. Sa verge toujours aussi tendue était recouverte de salive mélangée au sperme. Elle baissa son pantalon et son string dans un même temps et repoussa le bras Théo. Elle sauta sur le lit prenant par surprise son patient. Elle attrapa la verge et la dirigea directement vers son anus. — Pas besoin de te presser Noémie, je suis tout à toi, lui dit Théo. Il attrapa une lingette nettoyante et s’essuya la main. Noémie le regarda et à ses paroles un désir la dévora. — Oh oui et ce soir, c’est à mon tour, dit-elle. Noémie commença à descendre sur le membre turgescent de Théo. Elle grogna lorsque le gland repoussa le bord de son sphincter. Elle poussa un peu plus fort faisant entrer le gland entièrement dans son anus. Théo posa son pouce droit sur son clitoris. Il effectua des petits cercles avec le bout de son doigt. L’infirmière frissonna de plaisir. — C’est magique comment tu trouves le bon point pour me faire jouir, dit-elle. Noémie se concentra les yeux fermés. Elle sentit la verge se frayer un chemin en elle. Le plus difficile passa, le sphincter et quelques secondes plus tard elle toucha ...
... au but en sentant le contact des poils, lui indiquant qu’elle était presque à la garde. — Ouuuuh ! C’est bon, je l’ai en moi. L’infirmière de quarante ans ressentit chaque vibration de la tige plantée en elle. Elle en apprécia l’épaisseur et la chaleur. Toujours de son pouce, Théo titilla le clitoris de son amante un peu plus fort. Elle tressaillit et sut qu’il était temps. Elle remonta doucement de quelques centimètres et redescendit. Elle effectua cette action plusieurs fois. Une nouvelle main la toucha lui caressant la cuisse droite, elle ouvrit les yeux. — Tu vas bien ? demanda-t-il. — Non mon chéri, pas juste bien ! C’est divin. Théo décida lui aussi de s’activer. Il enfonça son majeur dans le sexe, un liquide coula au creux de sa main. Elle tira son visage jusqu’à elle. — Oh Théo ! Elle l’embrassa, le baiser fut long et langoureux. Ils se séparèrent. — Oh mon dieu ! fit Noémie en réponse à ses mouvements plus ample et plus rapide. Elle finit de se déshabiller et se caressa les seins. — J’en ai déjà connu des plus grosses, mais pas d’aussi agréable. Elle me touche juste là où il faut, je me sens en chaleur... Théo lui attrapa les hanches et fit comme la nuit précédente. — Je ne suis pas sûr que tu l’aies fait entrer entièrement tout à l’heure. Il bloqua Noémie au point le plus bas et contracta ses fessiers gagnant juste ce qu’il fallait pour enfoncer le dernier centimètre et demi. — Oh, ooooh ! C’est trop ! fit-elle. Le visage figé dans une expression de douleur croisant ...