1. La police des activités virtuelles


    Datte: 06/11/2018, Catégories: fh, fhh, humour, policier, sf,

    ... redressa vivement pour l’observer, abandonnant mon sexe toujours tendu. Je devais paraître bien con, assis avec la queue à l’air devant ce guignol. — Euh… Oui.— Vous ne voyez pas que nous sommes occupés ? lui demanda froidement Tilya. Mon sexe commençait vraiment à ramollir, mais elle s’en empara à nouveau et se mit derechef à me masturber sans la moindre gêne. — Vous êtes dans un lieu semi-public, reprit l’homme, et par conséquent vous transgressez la loi numéro 17 du code de la pudeur. Mais Tilya lui répondit du tac au tac, presque sur le même ton : — Nous sommes dans un lieu semi-privé, et par conséquent vous n’avez aucun droit d’intervenir sans un consentement écrit du directeur de cet établissement. Les paupières de notre charmant interlocuteur clignèrent rapidement deux ou trois fois, trahissant sans doute ainsi sa colère, mais il garda tout son calme. Il allait répondre, mais Tilya le devança : — Et je vous emmerde ! ajouta-t-elle en se replongeant au-dessus de mes cuisses. Mais je crois que ce fut trop pour lui ; fumant presque des narines, il regarda Tilya ouvrir la bouche et la glisser autour de mon sexe. Puis ce fut moi qu’il regarda un instant avec colère. Je me contentai de hausser les épaules d’un air compatissant. Ses yeux se reportèrent une nouvelle fois sur ma partenaire, qui continuait de me dévorer comme si de rien n’était. — Salope ! finit-il par hurler. Ses orbites roulaient en tous sens, et j’eus vraiment l’impression qu’il allait nous frapper, Tilya ...
    ... ou moi. Elle semblait imperturbable, poursuivant son travail, avec peut-être un tout petit peu moins d’acharnement. Je crois que, mine de rien, elle restait relativement attentive à ce qui se passait devant nous. Quant à moi, je tentais de savourer pleinement les caresses de ma partenaire, mais l’agitation ambiante ne favorisait pas ma "forme". Mais l’homme se calma soudain et, d’un air satisfait et décidé, il descendit sa braguette et sortit sa queue durcissante, en disant : — Je crois que nous sommes partis sur de mauvaises bases. Tenez, mademoiselle. Tilya releva la tête, l’observant avec incrédulité. Elle sembla réfléchir une ou deux secondes, puis elle se redressa complètement et m’adressa discrètement un clin d’œil que je ne compris pas le moins du monde. Et, sous mes regards interloqués, elle releva alors sa jupe et vint alors s’asseoir à califourchon sur mes cuisses, me tournant le dos, un genou sur la banquette, de chaque côté de moi. Puis elle saisit d’une main le sexe qui durcissait encore devant elle et s’empala vivement sur le mien en s’aidant de l’autre main. Je ne pus réprimer un vague gémissement de plaisir. Elle se mit à osciller au-dessus de mes cuisses, sans cesser de pomper celui qu’elle supposait être un agent de la PAV. Je tentai de rester tout à la fois concentré sur ma partenaire et sur la situation. Mais ce fut la situation qui l’emporta : je ne tardai pas à me ramollir à vitesse grand V. Tilya s’en aperçut rapidement et ralentit ses va-et-vient. Mon ...
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