Au service (pas st secret) de Madame (7)
Datte: 06/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... couilles, comme le dit joliment Madame, la dernière chasse pourrait se dérouler dans la propriété de Madame. Le ministre ne répond qu’après une longue réflexion. Aussi, Madame insiste en lui affirmant qu’il n’y aurait pas de mise à mort. Seulement une grosse frayeur pour le malhonnête. Ensuite, libre au ministre de déchoir l’individu de toutes ses prérogatives et de le rétrograder au rang de moins-que-rien. Pour une personne libre, être rétrogradée au rang de moins-que-rien n’est pas des plus glorieux. Cela revient à dire que cette personne ne possède plus rien, même le droit à la parole lui est refusé. De plus, il est dans un lieu où sont regroupés tous les moins-que-rien et n’ont d’autre choix que de se débrouiller par leur propres moyens qui sont quasi nul. C’est là la condamnation à la plus lourde peine pour des fautes graves telles que le meurtre, ce qui est le cas pour ce secrétaire. Cette nouvelle semble amuser le ministre qui acquiesce. Satisfaite, Madame coupe la communication. Devant cette femme, elle ne lui laisse que deux choix, servir de gibier ou n’être plus que sa chose, une de plus pour Madame. Nous la laissons faire son choix. La chose éteint tout et ferme la porte à double tour. En haut, la chose reprend son travail, Châu et moi donnons de quoi calmer Madame en la faisant jouir comme elle aime. — Si cette salope reste à mon service, elle sera de piquet pendant six mois à la porte. — Madame ne semble pas encline à être particulièrement sévère. — Tu ne sais ...
... pas ce que cela signifie, ma petit Châu. C’est une punition très pénible, crois-moi sur parole. — Que Madame nous explique si cela peut aider Madame à jouir de nous. — Voilà, elle va être enchainée en croix. Elle n’aura à boire et à manger qu’une fois par jour. Elle ne sera délivrée de son supplice que pour être conduite au donjon et sévèrement besognée. Pour ses besoins, elle n’aura d’autre choix que de se retenir sous peine d’être encore sévèrement suppliciée. Elle n’aura l’occasion de se soulager qu’une fois par jour. Six mois de ce traitement c’est dur, vous savez, mes douces chéries. — On dirait que Madame a vécu cette terrible punition. — Effectivement, mais seulement pendant six jours. J’avoue que je ne recommencerai pour rien au monde. Même à vous deux, je ne l’infligerai jamais. — Et la nuit, elle reste en croix à la porte ? — Et comment, si elle s’en montre digne, on peut, à la limite, lui donner une toge contre le froid, mais c’est tout. Oui Châu, continue, ce que tu es bonne ma chérie. Je vois que Manon t’éduque bien. Merci ma chérie d’amour. — De rien Madame, c’est un plaisir de vous donner satisfaction. — Si seulement tu voulais, je ferais de toi ma compagne officielle, n’en déplaise au ministre. — Je ne veux que servir Madame et la subir et c’est avec amour que je le fais, Madame le sait. Je n’ai nullement besoin de richesse. Ma richesse, c’est vous, Madame ! — Je le sais ma douce Manon, je le sais. Madame n’insista pas, l’orgasme qui l’envahissait était des plus ...