1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1221)


    Datte: 06/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1220) - La vie au Château (suite) : Messire Léon ramena Lucie dans la chambre des soumises mais arrivé devant la porte et avant de la laisser rentrer, il lui intima : - Pas un mot de notre conversation aux autres et encore moins au Seigneur d'Evans. Suis-je assez clair ? - Oui Messire, je ne dirai rien à personne. Ensuite après avoir laissé Lucie, il exigea d’Amélie de venir et l’emmena dans la chambre du Maître. Elle entra accompagnée de Messire Léon qui la plaça au centre de la pièce, puis il sortit après avoir souhaité une bonne soirée au Seigneur d'Evans. Après un certain temps silencieux, le Châtelain daigna la regarder, s’approcha d’elle, délaissant son manuscrit qu’il était en train d’écrire. Il la toisa de haut et il lui lança sur un ton rassurant : - Alors chienne, comment te sens-tu ? - Honorée Maître. - Sache que c'est un privilège qui peut être accordé ou retiré selon Ma volonté. - Oui Maître. - A quatre pattes. Le Seigneur d'Evans lui mit un collier avec une laisse et la promena en quadrupédie dans sa chambre avec de légers coups de cravache sur sa belle croupe arrondie pour la faire avancer. Amélie en était trempée d'excitation et cela se voyait, sa cyprine coulant le long de ses cuisses. - Ca t'excite, hein salope ? - Oui. Un puissant coup de cravache lui chauffa les fesses et Amélie ne put retenir un cri. - Ca, c'est pour avoir parlé ...
    ... sans autorisation. (Puis un second tout aussi appuyé) - Et quand tu t'adresses à Moi, tu réponds "oui Maître" (Encore un plus fort encore) - Et ça pour avoir crié au premier coup. - Pardonnez-moi. - Cette dernière phrase était celle de trop, chienne et en plus mal dite, tu as oublié le Mot ‘‘Maître’’… Silence chienne et à l'avenir abstient-toi de me donner des ordres. Ce sera 50 coups de martinet. En position, tu connais les règles, tu ne bouges pas, je ne veux rien entendre et tu comptes à la moindre erreur, je recommence à zéro. Amélie se positionna alors à quatre pattes, puis en levrette prosternée, le cul bien relevé et exhibé. Un premier coup mordant s'abattit sur ses fesses rondes. - 1 ... – 2 ... - 3... ... A présent Amélie se trouvait dans un état second et la douleur lui fit commettre une erreur de calcul à : - 30… - 32 … - Erreur, on recommence et j'oubliais maintenant je veux que tu me remercies entre chaque coups. - 1, merci Maître... - ... (jusqu’à 49 sans se tromper) - …50, merci Maître, dit-elle en larmes. - Tu l'as mérité, salope. Cesse de pleurer, tu n'as encore rien vu. Le Seigneur d'Evans s'installa dans son siège fait de bois ciselé et garni de moelleux coussins, siège ressemblant à un large trône - Maintenant, vient me soulager, fait-moi gicler et avale tout, la chienne. Amélie s'approcha lentement et sortit la noble Verge déjà tendue du Maître. - Sans les mains, je veux juste ta bouche de chienne. Amélie, bien que dégoutée ne laissa rien paraître feignant ...
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