1. Ma femme a une drôle d'idée de l'Education / réécrit (14)


    Datte: 06/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    J’étais attachée nue ou quasiment, hormis mon ensemble SM, en cuir et chaines, mais qui ne cachait pas grand chose de mon intimité, bien au contraire. Je ressentais une excitation colossale ; je voyais mes deux fils « bourreaux » se concerter à voix basse, prés de la table sur laquelle se trouvait tout l’attirail SM : fouet, courts ou longs, martinets, chats à neuf queues, pinces pour les parties sensibles, bougies, menottes, cravaches, palettes etc. Puis je les vis approcher torse nu, avec chacun à la main un chat à neuf queues, c’est-à-dire une espèce de martinet, composé de lanières de cuir très longues, environ 1 mètre, voire plus. Je savais que les deux instruments ne se valaient pas, l’un possédait des lanières assez épaisses et grossières qui faisaient vraiment mal, si le coup était porté avec vigueur, tandis que l’autre possédait des lanières en peau, relativement inoffensives…le maitre pouvait alors s’en donner à cœur joie pour « battre sa soumise » avec ardeur. J’adorais ce dernier jouet qui me procurait toujours le frisson, quand je voyais l’un de mes deux tourmenteurs armer son bras avec puissance et me cingler avec vigueur, la douleur était largement supportable, voire très excitante, et le bruit de claquement produit était envoutant. Comme pour les cravaches, les amateurs savent que ce sont les instruments qui font le moins de bruit qui sont les plus cruels… Mes deux fils ‘ « armés » de leurs" jouets", se placèrent chacun d’un côté de la croix, et me ...
    ... regardant avec amusement et perversité, s’amusaient à mouliner leurs instruments dans l’air. La question un peu angoissée que je me posais était : lequel des deux était équipé du plus mordant des fouets ? J’aurais parié pour Damien qui m’en voulait vraiment, mais par pure perversité, peut être avaient-ils échangé les rôles ! Michel me cingla le premier, et je reçus une douleur assez cuisante sur mes seins, je criais ; puis ce fut au tour de Damien, sur le haut de mes cuisses et mon sexe, et là, une douleur très supportable et une quasi jouissance de sentir les lanières venir épouser mes cuisses, s’enrouler telles des tentacules, venir crocheter mon clitoris turgescent et offert, pénétrer ma fente ouverte et déjà dégoulinante de cyprine. Ils me cinglèrent chacun 5 fois, et je dus compter les coups sous la sanction d’en recevoir le double. Les deux vicieux alternaient chacun les zones frappées. A chaque fois je gémissais et criais en même temps, de douleur et de jouissance mêlés. Quand ils terminèrent, mes seins et mes cuisses ainsi que le mont de venus étaient rougis. Quand Damien porta un glaçon sur mon sexe échauffé, je poussai une plainte de lamentation déchirante et quand il l’introduisit doucement dans le bord de ma fente et qu’en même temps ses doigts titillèrent mon clitoris, je laissais échapper un grand cri de jouissance, un immense éclat de rire, et lui demandai de me goder, ou de me baiser, mais je voulais être pénétrée après avoir été excitée et échaudée ainsi. Tout mon ...
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