1. Nous deux, Mary et Pierre (5)


    Datte: 05/08/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... j’ai encore la tête qui tourne. — Voilà ce qui arrive quand on ne tient pas l’alcool !... — C’est pas beau de se moquer de sa petite maman ! — Je ne me moque pas, je constate seulement, ma très chère Maman... Et l’on éclate de rire de nos enfantillages. Arrivés à destination, nous enfilons chacun des baskets, nécessaires pour descendre le chemin escarpé. Un sac à dos avec serviettes de bain, et quelques bricoles complètent notre équipement. Après une petite marche, nous parvenons à destination : la cascade. L’eau dégringole de la montagne, achevant sa course dans une grande piscine naturelle. « Waouh que c’est beau ! » s’écrie maman. Selon la brochure, il s’agit d’un site très fréquenté, mais là, nous sommes seuls, nous n’avons croisé qu’un couple qui remontait. — On se baigne ? Dis je. — Pourquoi pas, mon amour. Maman enlève son paréo et ses baskets, moi short et tee-shirt. Nous rentrons dans l’eau main dans la main. Nous passons sous la cascade, l’eau nous éclabousse, je prends Maman dans mes bras et lui roule une pelle. Une envie subite me traverse l’esprit : « j’ai envie de te sauter tout de suite ! » — Mais quelqu’un pourrait venir !... — On s’en fout, j’ai trop envie de toi, sens comme jebande !!... — Je vois que le monsieur a une grosse envie !. Je soulève Maman par les fesses et la pose sur une grosse pierre polie par l’eau, je lui écarte les jambes, je baisse mon maillot, prends ma bite d’une main, de l’autre écarte son maillot sur le coté. Je positionne ma bite à ...
    ... l’entrée de sa chatte. « Eh bien dis donc, tu es toute trempée ! » — Que veux-tu, moi aussi j’ai envie de me faire bourrer !! Je rentre d’un trait, lui déclenchant un grand soupir de satisfaction. Maman me cramponne par le cou, gardant toujours les jambes largement écartées. Je la pénètre. Non, je la bourre sauvagement ! — Vas-y encore plus fort, bourre ta salope, oh oui encore, encore !!... J’y mets toute ma puissance, c’est bestial, maman me cramponne fermement, mes mouvements sont amples et vigoureux. Maman gémit fort, j’accélère encore, la sauce ne va pas tarder... Les contractions de son vagin me compriment la queue, ce qui fait monter mon excitation à son paroxysme. Et les vannes s’ouvrent enfin ! Planté au fond de sa matrice, je me vide dans un cri rauque de bonheur, Mary n’est pas en reste, sa jouissance est aussi violente que la mienne, elle hurle littéralement ! Nos cris se voient couverts par le bruit de la cascade. Je lui dis à l’oreille : — J’y suis peut-être allé un peu fort... — Ah que non,putain c’était le pied de se faire exploser la chatte !!!! — Heureusement que nous étions seuls, tu te rends compte du spectacle que l’on aurait donné !... De retour à la voiture, nous nous séchons sommairement, puis garnissons les sièges de nos serviettes. Avant de remettre son paréo, Maman retire le haut de son maillot. Quels beaux nichons, je me dis secrètement. En me regardant avec un grand sourire, et gonflant sa poitrine, elle me dit : — C’est tout mouillé, ce n’est pas ...