1. De l'amour qui change les vies...


    Datte: 06/11/2018, Catégories: fh, hh, fbi, hbi, couple, extracon, inconnu, enceinte, hotel, amour, vengeance, jalousie, cérébral, revede, Masturbation Oral pénétratio, exercice, portrait, entrecoup,

    ... son long, le dos sur le canapé. La main virile est là pour frictionner savamment la chair implorant le plaisir. Béryl s’arc-boute sous l’excitation, puis bascule ses jambes en arrière, les cuisses écrasent ses seins. La position n’est pas des plus confortables, mais sa petite rondelle est offerte à son Alex tout aussi passionné et ardent. La raie et les fesses sont accessibles et savourées longuement par la grande langue bien râpeuse de cet homme aux muscles saillants. Puis les jambes tremblantes demandent grâce. Béryl n’en peut plus et s’étale de tout son long en gémissant. Les mains et la langue d’Alex reviennent sur son sexe en feu et tètent, caressent, sucent, lèchent, frictionnent jusqu’à arracher un cri d’exaltation au moment de l’orgasme. Suivent l’apaisement, la satisfaction et le bien-être absolu. –oooOooo– Le lendemain soir, Béryl se désole et tourne en rond dans l’appartement. Un coup d’œil par la fenêtre de la cuisine : rien à voir, à part l’immeuble d’en face éclairé par les lampadaires. Les habitations sont sympas, récentes comme la leur. La ville de Meaux a bien fait les choses et le quartier s’est transformé, faisant pousser comme des champignons les petites infrastructures immobilières de trois étages près du parc du Pâtis et de ses étangs. D’ailleurs, ils ont choisi l’appartement pour cette vue qui donne du salon, une chance rare à quarante kilomètres de Paris. Béryl regarde sa montre en pensant à Alex :« Vingt-et-une heures, et toujours pas là ! ...
    ... Qu’est-ce qu’il fiche ? ». S’ensuit un échange de textos : Aussitôt, la réponse arrive : Enfin le voilà ! Il accroche vite fait sa veste sur un cintre. À peine un baiser et il fonce dans la chambre, puis dans la salle de bain avant de revenir en tenue décontractée s’installer dans le salon. — Tu prends quelque chose ?— Non merci, répond Béryl en l’observant. Eh bien, il devait avoir soif, car l’apéro est avalé aussi vite qu’il lui a fallu de temps pour se le servir. — Il y a quelque chose qui ne va pas ? demande Béryl avec sollicitude.— Non, non, t’inquiète pas.— Si tu as un souci, tu peux m’en parler.— Arrête un peu avec tes questions ; tout va bien.— D’accord, je n’insiste pas. Pourtant, l’attitude d’Alex n’est pas habituelle. Il y a quelque chose qui cloche ce soir, mais quoi ? Un petit « je ne sais quoi » s’insinue en Béryl. Il suffirait d’aller jeter un coup d’œil dans les deux pièces où il est passé pour trouver peut-être un début de réponse, quitte à le regretter plus tard. Son choix est vite fait : mieux vaut en avoir le cœur net ! Dans la chambre, au premier coup d’œil, rien d’anormal, et il est hors de question de fouiner dans les poches du pantalon ; Béryl considère que ce serait un manque de respect inacceptable. Reste la salle de bain. À part la chemise dans la corbeille à linge à examiner… le truc classique, la suspicion de cocufiage. Mais là, non, rien d’anormal. Alex travaille avec des femmes, alors c’est logique qu’il reste des traces de leurs parfums sur le tissu. ...
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