De l'amour qui change les vies... - Histoires de Sexe

De l'amour qui change les vies...

... attend que sa main lui donne du plaisir. Et puis, c’est plutôt agréable d’avoir les doigts entre de si belles cuisses… Oh, la belle invitation : Dominique a discrètement ouvert la ceinture de son pantalon. L’intérieur doit être si accueillant… Diabolique tentation qui pousse la curiosité à aller découvrir les petits secrets du sexe qui attend sa main. — Hummm… comment peux-tu avoir le sexe si chaud ? Est-ce pour moi ? Et… jusqu’où veux-tu aller ?— Et toi ? Au creux de son oreille : — Au Richemont. L’hôtel est de l’autre côté de la Marne. Tu aimes les grandes baignoires ? Je demanderai que notre chambre en ait une. Un petit temps de pose et une analyse menée à cent à l’heure, puis la réponse arrive : — Oui, ça me tente. Je te suis, Béryl, mais restons discrets.— Compte sur moi. –oooOooo– — C’est bien : dans la salle de bain, il y a un flacon pour parfumer et faire mousser l’eau.— Dominique, toi et moi dans l’eau chaude, hummm… Tente-moi quand tu veux. L’eau commence à couler. Se déshabiller en douceur, avec un peu de tendresse ? Béryl veut bien, mais Dominique se fait un malin plaisir à faire voler ses vêtements les uns après les autres à travers la petite pièce, tout en surveillant le niveau de l’eau. Son corps n’est pas mal, même s’il est dévoilé dans la précipitation ; mais son allure est un peu trop sportive et ses gestes ne sont pas vraiment faits dans le but de l’exciter. Béryl ne craque pas vraiment. Il manque une touche d’érotisme quand même. Se charmer, ça a du bon ...

... : ça fait monter la pression, ça donne envie de faire l’amour. Jouer avec les corps, voilà une façon de faire bien plus alléchante. Béryl s’approche de Dominique et lui murmure en l’embrassant dans le cou : — Les préliminaires longs et sulfureux, tu aimes ?— Oui, assez.— « Assez », pas plus ?— Tu n’as qu’à me convaincre qu’avec toi ce sera agréable, souffle Dominique pour l’aguicher.— Déshabille-moi ! Béryl se laisse faire. Les mains déboutonnent ses vêtements un à un en prenant le temps avant de les balancer par terre pour qu’ils rejoignent la joyeuse pagaille qui règne autour d’eux. La bouche s’empare d’un sein. — Tête-moi les seins voracement, Dominique. Dominique aspire le mamelon qui est dans sa bouche et sa langue le titille jusqu’à ce qu’il grossisse. Quand il est bien érigé, c’est l’autre pointe de sein qui reçoit ce traitement de faveur. Béryl attrape les cheveux fins et courts sans laisser aux petites mèches le temps de glisser entre ses doigts. Ce n’est pas une caresse, non, mais un geste impérieux qui fait lâcher le sein. L’instant d’après en forçant sur la tête, Béryl fait comprendre à Dominique que son sexe l’attend. Dominique, qui adore mettre sa bouche sur un sexe, se régale des premières gouttes que lui offre Béryl. Sa langue est gourmande, c’est le moins qu’on puisse dire ! — Vas-y, goûte-moi, Domi. J’adore une langue qui me lèche. Et la tienne se débrouille diablement bien.— Viens dans la baignoire, elle est assez remplie. Et ma main pour m’occuper de ton ...