1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1096)


    Datte: 07/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... l’excitation m’envahissait totalement autant que la douleur du fouet… Je mouillais beaucoup mais je ne tenais plus sur mes jambes, ma chatte dégoulinait de cyprine. On me traina ensuite, presque portée vers une cave, plus geôle qu’autre chose, au centre de la cave, un appareil dont je comprenais immédiatement l’usage… - A quatre pattes la salope de chienne ! Immédiatement j’obéis, très excitée et on plaça des godes l’un sur mon anus, l’autre à la chatte, tandis qu’au clito était fixé un vibro. La machine se mit en marche, le vibro entra en action, doux au début puis rapidement plus fort, l’anus était forcé tandis que la chatte coulait encore. Les deux godes, mus par la machine ? commençaient leur œuvre, en cadence. Quand l’un entrait, l’autre sortait, tandis que de temps en temps, les deux, en même temps s’enfonçaient en moi synchronisés, puis en alternance et ainsi de suite. Travaillée comme je l’étais, sans aucune humanité, avec la séance de fouet, mes forces déclinaient rapidement, mais cela n’empêchait pas mes instincts de salope lubrique de m’assaillir vigoureusement, encore et encore. - Je crois qu’elle est à point, dit un homme venu vérifier comment j’étais excitée Je suis alors relevée, abandonnant les ustensiles de dressage, tenue par le collier, je suis emmenée, trainée devrais-je dire, devant celui qui semblait le chef, le gourou devrais-je dire, tant il me semblait qu’en sa présence, le reste de la troupe lui manifestait une quasi dévotion. - Mettez cette salope ...
    ... en position ! ordonna le Maître des lieux… Immédiatement, plusieurs hommes, aux torses nus, pantalons de jeans, bottes, crâne rasé, se saisirent de moi, et me firent me mettre à quatre pattes, sur une espèce de scène… Le chef, assis sur son trône, regardait l’assemblée, tandis que les « fidèles », attroupés et respectueux, chantaient des mélopées… Sur un claquement de doigts, une vingtaine d’hommes, nus se présentèrent, sous les cris des spectateurs déchainés, et une dizaine de jeunes filles arrivèrent par la suite, nues également et portant toutes collier et laisse. Un bandeau fut posé sur mes yeux, me plongeant dans le noir absolu… Excitée par les appareils, je mouillais encore comme une truie en rut, de ma chatte écartée, s’écoulait des paquets de cyprine, en longs filaments translucides, qui finissaient par tomber entre mes jambes… Clitoris sorti de sa gangue, complètement décalotté, il remuait tout seul, tant j’avais envie de jouir… Même mon cul, ouvert, semblait appeler les queues comme suppliant de le prendre… j’avais le cul en feu et mouillé de surcroît… Une partie du groupe de la communauté, tapait sur des tam-tams, et le rythme des tambourins devenait lancinant, envoutant même, et propice aux débordements sexuels. Tandis que je ne voyais rien, je sentis en revanche, beaucoup de mains qui touchaient mon corps, mon dos, mes reins, tandis que d’autres me pressaient les tétons, les étiraient vers le bas, les allongeaient, d’autres encore, entraient dans ma vulve, sans ...