1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°906)


    Datte: 08/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... magnétique inviolable à empreinte biométrique. Walter passa le collier autour du cou de Sissy. Il s'ajustait parfaitement, rien n'avait été laissé au hasard par Monsieur le Marquis et la belle Cathy... Le majordome plaça son pouce sur le dessus du manchon de fermeture, un presque imperceptible chuintement se fit entendre. Le collier était verrouillé, pour l'instant seul Monsieur le Marquis et son majordome pouvait en autoriser l'ouverture. - "Rose, emmène Sissy, tu connais tes consignes, ne traînes pas, il est tard". Rose entraîna Sissy jusqu’à un long et luxueux nouveau couloir au fond duquel elle poussa une lourde porte. La pièce était assez vaste, chaude. Sur le flanc droit, face à l'unique fenêtre, prenait place un grand lit très haut. Sissy remarqua immédiatement les anneaux placés de part et d'autre de la tête et du pied de lit. Une nausée la reprit, mais ce qui l'intrigua était au centre de la pièce. Face à un magnifique fauteuil Voltaire, majestueux et élégant dans son pur style Louis Philippe trônait une étrange pièce de mobilier tenant du Prie-Dieu, du chevalet et du carcan. La douce voix de Rose, a nouveau, la sortit de ses "considérations". -"Voilà Sissy, c'est chez toi", dit-elle avec une moue enfantine sur son visage mutin. Tu as même des draps, c'est bien la première fois que je vois ça pour une stagiaire. La porte, là-bas, c'est ton cabinet de toilettes. Viens t'agenouiller" dit-elle en désignant l'étrange mobilier. Sissy obéit. Une fois à genoux il lui ...
    ... fallut se plier vers l'avant contre une partie capitonnée et inclinée du meuble pour que son buste se place à l'horizontal et qu'elle puisse présenter ses poignets aux deux orifices de ce qui s'apparentait à un carcan. Sissy comprit : une fois en place on était "en levrette", chevilles et poignets enserrés, cuisses et bras écartés, la tête libre face au beau fauteuil Voltaire. Le premier coup de badine arracha un cri à Sissy. La brûlure traversa son corps comme une décharge électrique. - "Je suis désolée petite sœur Sissy, mais ce sont les ordres." Un second coup arriva, tout le corps de Sissy se cabra sous la nouvelle brûlure. Rose obéissait à Marie : Sissy devait pleurer et implorer dès le premier soir. Elle savait que deux esclaves reproducteurs, de ceux qui sont formés à saillir 4 à 8 fois par jour se tenaient là dans l'antichambre, près à commencer l'asservissement de Sissy, l'ouverture de son petit trou de catin et surtout de lui ôter toute forme de résistance à la dépravation. "Douze coups" avait dit la cuisinière "et si demain je ne vois pas les marques ce sera toi ma Belle qui les aura, mais de ma main !" Elle asséna un troisième coup, avec précision. Une petite goutte de sang perla le long d'une zébrure sur la fesse droite de Sissy. "Douze" avait dit Marie... Sissy ne supporterait pas, la badine était pire que tout, elle le savait bien. Un 4° coup cingla, Rose entendit le premier sanglot de Sissy :"Rose, pas trop vite, laisses moi juste le temps de respirer...". Rose ...