1. Les tourments érotiques du jeune Markus Milka (5)


    Datte: 08/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Préalablement à la séance exceptionnelle d’expiation que doit subir Markus, il fut jugé nécessaire de vérifier que celui-ci était bien apte à supporter tout ce qui l’attendait, car on craignait l’accident cardiaque mortel à l’acmé de l’action. Pour cela, il dut passer une visite médicale approfondie dans l’infirmerie de l’institution. Rien n’était fait pour préserver la pudeur des patients, bien au contraire. Garçons et filles mélangés devaient se mettre entièrement nus en attendant leur tour, puis s’assoir, non pas dans la salle d’attente – il n’y en avait pas – mais sur un banc qui se trouvait dans la salle de consultation, de sorte que chacune et chacun pouvait tout voir et tout entendre de l’acte médical en cours. Ce jour-là, il y avait six patients à examiner : trois garçons, dont Markus, et trois jeunes filles que leurs parents envoyaient là afin de sauver leur âme de l’enfer pour avoir versé dans le péché de chair. Ces six jeunes gens, tous de bonne famille, étaient jugés comme particulièrement atteints par le mal de la fornication et nécessitaient à traitement spécial – surtout Markus. Celui-ci passa en premier. La doctoresse, une femme d’une quarantaine d’année à l’air sévère et semblant ignorer la possibilité d’un sourire, vêtue comme il se doit d’une blouse blanche décorée de son stéthoscope, commença par peser et mesurer soigneusement son jeune patient, qu’elle invita ensuite à s’installer dans le fauteuil d’examen. Elle était assistée d’une jeune infirmière, ...
    ... environ vingt-cinq, une très jolie brune aux longs cheveux parfumés, elle aussi vêtue d’une blouse moulant parfaitement ses formes exquisément féminines, notamment deux seins dont Markus et les autres garçons devinaient la générosité, joliment compressés sous le haut du vêtement immaculé. Le siège possédait des étriers qui obligeaient les jambes à s’écarter largement, afin d’accéder facilement aux parties génitales, et des sangles positionnées aux chevilles, aux mollets, à la taille et aux poignets, permettant une immobilisation complète du sujet examiné. Ainsi attaché, Markus était totalement soumis et vulnérable aux fantaisies érotico-médicales de la doctoresse. Elle lui commença par lui demander d’uriner dans un flacon. Comme il n’en avait pas envie, car il venait de passer aux toilettes – c’était prévu – elle ordonna à son assistante de lui sonder la vessie au moyen d’un tuyau qu’elle fit pénétrer dans l’urètre. Bien-sûr, c’était douloureux, à dessein, et l’infirmière, malgré son sourire d’ange, n’en était pas moins d’une terrible cruauté lorsqu’il s’agissait de « soigner » ses patients. Dans l’action, son regard se tourna vers Markus, comme pour lui demander « souffre-tu ? » et lui dire « inquiète-toi car bientôt tu souffriras plus encore ». Ensuite, ce fut son anus qui intéressa la méchante doctoresse. En préambule, elle lui palpa la petite rosette en prenant un soin particulier à permettre aux autres jeunes qui attendaient leur tour de bien voir chaque détail intime de ...
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