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Ce n'était qu'une simple soirée (14)
Datte: 08/11/2018, Catégories: Hétéro
Laurence se redresse sur son fauteuil et passe la main dans l’encolure de sa robe. Elle attrape une bretelle de son soutien-gorge et la sort légèrement. Blanche. Je souris. Elle le remet en place. Elle pose ensuite ses mains à hauteur de son entrejambe, sur la robe, et ouvre un petit espace entre deux boutons. Mon cœur s’emballe. Aucun doute, la couleur de ce qu’elle porte en bas est… rouge. Elle me regarde en souriant. — Vous avez perdu. Je ne dis rien. Je ne conteste pas. Du moins, pas tout de suite. Je me lève, face à Laurence. Je retire ma chemise puis déboutonne mon bermuda qui tombe à terre. La mère d’Elise ne manque rien de mon striptease. En boxer, je commence à imaginer la quadragénaire devant moi en train de me sucer puis je fantasme sur une belle levrette. Il ne m’en faut pas plus pour commencer à bander. Je caresse ma bite à travers le tissu. Laurence me regarde avec appétit. Je me tourne pour descendre mon boxer puis reviens face à elle, la verge au garde à vous. L’instant de stupéfaction de Laurence vaut mille compliments. Il ne fait aucun doute que ma bite a encore augmenté son degré d’excitation. Lentement, je commence alors à me branler en la regardant dans les yeux. Elle ne baisse pas le regard ou alors pour regarder mon sexe. Petit à petit, je me rapproche d’elle jusqu’à venir m’asseoir sur l’accoudoir du fauteuil. Je glisse les doigts le long de son encolure. — N’avais-je pas à moitié raison ? Elle me regarde, le souffle court. — Laissez-moi réévaluer la ...
... situation… J’ouvre un bouton. — Je pense qu’on peut dire que vous aviez raison à 50%. Second bouton… J’écarte le haut de la robe laissant apparaitre un soutien-gorge blanc en dentelles qui ne dissimule en rien les larges aréoles de Laurence. Je dis : — 50% raison ? Demi-défaite. Demi-victoire. Je tire sur la ceinture qui s’ouvre à son tour puis déboutonne la troisième attache. Elle ajoute : — Match nul A l’ouverture du quatrième bouton, sa main se pose sur mon sexe et elle me masturbe doucement. Habilement et sans me presser, j’ouvre les quatre derniers boutons de la robe. Je caresse son visage, puis passe la main sur son sein droit et descends jusqu’à sa hanches : — Pourquoi est-il donc rouge ? — Je portais le blanc hier. J’ai remis le soutif ce matin, mais le string est au sale. Car oui, c’est un string et non un tanga. Elle rit et ajoute : — J’ai donc mis le rouge, car il s’agit du même modèle. Je l’ai dans les deux couleurs. A peine a-t-elle terminé sa phrase qu’elle se penche sur mon sexe et commence à me sucer. Quelle intensité ! Ma bite est littéralement aspirée dans la bouche de Laurence. La belle pourrait donner des cours à sa fille. Quelle habileté buccale ! Je me mets debout et Laurence reprend sa fellation à un rythme soutenu, comme s’il s’agissait de sa dernière. Soit elle n’a pas pompé depuis des mois, soit elle adore ça. Je me retire de sa bouche. — Si tu continues comme ça, je ne vais pas tenir longtemps. — Je n’ai pas tous les jours l’occasion d’en sucer une ...