1. une cousine autoritaire (2)


    Datte: 08/11/2018, Catégories: Lesbienne

    J’avais pris des congés comme promis pour aller chez ma cousine. Elle m’attendait sur le quai de la gare. Pour être dans l’ambiance dès mon arrivée, elle m’avait dictée ma tenue. J’étais donc en minijupe vraiment mini et en chemisier transparent sans soutien-gorge. Elle m’accueillit en m’embrassant, nous étions heureuses de nous retrouver. Elle m’avait prévenue que sa femme de ménage serait absente et que nous serions donc seules. En montant l’escalier qui menait dehors, elle se mit derrière moi et souleva ma jupe ce qui permit à l’homme derrière elle de bien voir mes fesses. « C’est très bien, tu m’as obéit et pas mis de culotte ma cochonne. N’est-ce pas qu’elle est cochonne sans sa culotte ? » L’homme la regarda en souriant et siffla. On alla boire un verre dans un petit bar en face de la gare où il nous suivit. Il se mit au comptoir de façon à voir notre table. Ma cousine se mit assise en face de moi. Et j’ouvris mon blouson sous lequel mon chemisier n’était pas boutonné jusqu’en haut ce qui laissait voir la naissance de mes seins à peine cachés par le chemisier transparent. L’homme put se rincer l’œil copieusement ainsi que le serveur qui vint chercher notre commande. J’allais aux toilettes, il me suivit. « Tu as de beaux nibards, tu me les montres ? » Ma cousine qui l’avait vu me suivre était là aussi derrière. «Va-y ouvres qu’il puisse voir » J’ouvris mon chemisier pour exhiber ma poitrine. « Belle laiterie, et le reste ? » « Montres lui ta chatte. Tu écartes bien ...
    ... pour qu’il puisse bien voir » Je soulevais ma jupe et écartais mes lèvres et dégageais mon clito qui bandait déjà. Il tendit la main et passa son doigt sur ma chatte comme je ne disais rien, il le rentra dedans. Comme je ne disais toujours rien, il mit deux doigts supplémentaires et prit l’un de mes seins dans la main qu’il malaxa tout en me branlant la chatte. Je m’appuyais au mur en gémissant et en écartant le plus possible les jambes. « Qu’est-ce qu’elle mouille ! Tu es une sacré salope toi ! » Il se pencha et me suça le téton. Je voyais ma cousine qui se masturbait en nous observant. Lorsqu’il me masturba le clito je jouis en me mordant les lèvres pour ne pas nous faire remarquer plus que ça. Il sortit les doigts de ma chatte et me les enfonça dans la bouche, je m’étouffais à moitié. « Lèches salope! » Puis ma cousine m’attira dehors et nous allâmes boire notre café. Il se remit au comptoir pour nous regarder. Voilà qui inaugurait mes quinze jours de congés. Elle m’avait prévenue que l’on en profiterait à fond. En arrivant chez elle, je dus me déshabillais à peine entrer puis elle me fit visiter sa maison et je rangeais mes affaires. Elle entra dans la chambre .« Appuies toi au mur ! » J’obéis et elle agrippa mes seins, j’avais l’impression qu’ils étaient pris dans des serres, elle enfonça ses doigts et serra, puis elle me les griffa et les gifla violemment séparément puis les deux en même temps. Elle en prit un par le téton et le claqua par-dessous. Elle sortit deux ...
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