CAROLINE ET SON GENDRE
Datte: 09/11/2018,
Catégories:
Mature,
Inceste / Tabou
... mettre en route la cafetière quand j'ai senti deux mains sur mes hanches.J'ai sursauté et me suis retournée. Grégoire était contre moi et avant que je ne puisse dire un mot, sa bouche était collée à la mienne, nos langues se cherchaient tandis que nos salives se mélangeaient.Notre baiser fut bref et interminable à la fois, bref parce que j'en goûtais chaque seconde, la sarabande de nos langues me faisant éprouver un plaisir infini, interminable car mon corps réclamait autre chose en se collant et en épousant celui de mon amant.Grégoire m'a soulevée, m'a assise sur le plan de travail, a retroussé ma tunique dévoilant ma toison et mon petit chat. Il a abaissé son pantalon et sa grosse pine est venue se loger entre les lèvres humides de mon minou.Je me suis penchée en arrière pour m'offrir davantage et j'ai regardé le membre glisser lentement dans mon étui brûlant sans aucune difficulté, comme s'il retrouvait sa place normale.J'ai gémi quand ses bourses sont venues buter contre l'entrée de mon intimité complètement remplie par l'attribut masculin. Grégoire a souri :« Alors Caroline, tu la voulais ma bite, depuis que je suis arrivé, tu n'attendais que ça !.. Moi aussi, d'ailleurs, ils ont été longs ces deux jours passés à côté de toi où je n'avais qu'une envie, celle de te baiser... !– Oui Grégoire, mon chéri, je ne pensais qu'à ça, je me suis caressée tout ce temps en pensant à ce que tu m'avais fait, chez toi, à nos étreintes… !.. Bouge, bouge ta pine dans ma chatte, oui, ...
... caresse-moi les seins en même temps, prends-moi, je ferais tout ce dont tu as envie, continue... ! »J'avais décroché de la réalité, autrement comment aurais-je pu me faire prendre par le mari de ma fille dans ma propre cuisine pendant que celle-ci dormait dans la pièce à côté et pouvait apparaître à tout instant ?En attendant, Grégoire me faisait l'amour puissamment, entrant et sortant son sexe de ma fente et, à chaque fois, frottant avec son gland sur mon clitoris. Ses mains, posées sur mes hanches, me maintenaient pour m'empêcher de glisser, tandis que ses yeux fixés sur les miens voyaient mon regard se troubler, tandis que le plaisir envahissait petit à petit mon bas-ventre et irradiait mon corps.J'ai joui en silence, un orgasme fort et complet comme ceux que Grégoire m'avait fait éprouver lorsque j'étais chez lui. Et j'ai réussi à contrôler les muscles de mon vagin, j'ai enserré fortement la queue de mon gendre, lui arrachant un grognement de plaisir et le forçant à épandre sa semence au fond de mon chaton assoiffé.Nous avons subitement repris pied dans la réalité, en entendant du bruit dans la pièce voisine, Grégoire s'est retiré et je n'ai eu que le temps de rabattre ma tunique et d'essuyer le plan de travail sur lequel le sperme faisait une longue traînée blanchâtre avant que Mélodie ne fasse une entrée souriante dans la cuisine en tenant son fils dans ses bras.Je me retournai pour embrasser ma fille et lui souhaiter le bonjour, à mon air, Mélodie s'est aperçue que je ...