1. Hébergée chez ma soeur


    Datte: 09/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    J’ai trouvé du travail temporaire pour les fêtes près de chez ma sœur et son mari, aussi par soucis d’économie c’est eux qui m’héberge, j’ai dix-neuf ans et ma sœur Judith vingt-six, mon beau-frère Didier trente Beau-frère n’est pas usurpé, il est magnifique, rugbyman bien gaulé, très viril, parfois un peu macho, j’ai remarqué qu’il louchait souvent sur certaines parties de mon corps, dire que ça me laisse indifférente serait faux, mais je ne veux pas créer d’embrouilles aussi je me tiens à ma place j’imagine ma sœur aussi fluette que moi entre ses bras, quelle puissance il dégage, quels rapports intimes fougueux … d’autant plus qu’il ne se gêne pas pour lui mettre la main aux fesses devant moi, sans compter le soir seule dans mon grand lit j’entends les cris étouffés de ma sœur qui subit ( façon de parler !) les outrages répétés durant deux bonnes heures ,ce qui fait que je m’endors avec mes doigt et ma toison trempés Le samedi ils sont habitués à faire la fête, recevoir ou sortir, j’ai l’impression d’être un boulet, célibataire seule dans mon coin, un jour Didier a eu une idée qui ne m’enchantait pas plus que ça mais difficile de dire non lorsque c’est pour me distraire - Ursula, samedi j’invite Jonathan, un pote célibataire ainsi vous pourrez faire connaissance et plus si affinité - C’est gentil Didier mais je préfère être seule - Ne dis pas non, si tu refuses ce weekend nous ne serons que tous les trois à nous bader dans le blanc des yeux ! - Ah … dans ce cas je veux bien ...
    ... te faire plaisir - Je suis certain que tu le trouveras à ton goût sœurette, en plus d’être bel homme il est drôle et sympas - Nous allons faire la fête, champagne à gogo ! - Ne vas pas nous souler afin de profiter de nos corps ! - Juste ce qu’il faut pour rompre la chianlie J’appréhendais cette soirée, Judith m’a proposé de me prêter des fringues que je trouve ‘olé-olé, je n’ai pas l’habitude de me lâcher, mais la présence de ma sœur me rassure et je décide de jouer le jeu quoiqu’il arrive ‘il’ est arrivé cet ami ! c’est vrai qu’il est mignon … mais plus ‘efféminé’ que mon beau-frère, les discutions se mélanges, pluie, beau temps, des explications sur mes études, ça me gave ! jusqu'à ce que Didier change radicalement de sujet - Parle-nous de tes amours Ursula ? - Houlàlà ! pas grand-chose à en dire, c’est le grand calme - Rassure-nous, tu n’es plus vierge ? - Eh bien chéri ? ce n’est pas une question à poser à une jeune fille ! - Ça ne me gêne absolument pas, non, c’est assez récent mais je ne le suis plus - Avec un vieux ? un jeune ? - Un homme plus vieux que moi, qui savait de quoi il parlait, j’en garde un très bon souvenir - Donc, tu es branchée ‘la trentaine’ ? - Si tu veux insinuer de votre âge c’est oui, sans contestations - Hein Jonathan ? nous savons parler aux femmes, n’est-ce pas ? - J’avoue avoir une certaine expérience, mais je n’oserais jamais faire des propositions déplacées à ta belle-sœur - Tu as tort, je me la ferais bien, regarde-moi ce p’tit cul - Chéri ? ...
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