UNE TRANCHE DE VIE 10
Datte: 21/06/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... qu’elle avait toujours était très agréable avec moi alors que pour certain elle était juste courtoise, sans plus. Mais ??? Cette soirée, elle portait une robe beige clair en issu qui paraissait souple. On aurait dit une blouse portefeuille, tenue fermée par un gros bouton à l’arrière. Alors qu’elle dansait, j’observais, elle ne collait pas trop à son cavalier et suivait sans plus, elle ne semblait pas s’amuser follement. J’attendis que son dernier cavalier la raccompagne pour l’inviter. À peine sur la piste, je la serrais de près, un peu surpris elle se colla à moi sans hésitations. C’étaient des tangos. Je glissais une jambe entre ses cuisses elle ne broncha pas. Surprise, elle était souple et suivait très bien. La série de tangos terminée, je voulus la raccompagner. Elle ne bougea pas et me dit : « J’ai apprécié ces tangos, j’ai bien droit à un 2ème tour de manège », et c’était parti pour une série de slow. On se rapprocha, non on se recolla. Elle m’entoura de ses bras. J’avais posé mes mains sur ses hanches et je me décidais à la serrer un plus fort, et elle me dit : « Tiens, depuis le temps, tu t’aperçois enfin que j’existe » Moi : « Pardon » Véro : « Chut, profitons de ces danses » et elle se colla encore plus à moi, mais, et surtout elle se mit à rouler doucement des hanches. L’effet ne tarda pas à se faire sentir. J’essayais de l’éloigner légèrement d’elle. Elle dit : « Ne bouge pas, toi aussi tu existes maintenant, je le sens » J’étais sacrément gêné. La série ...
... terminée, je la raccompagnais à nos tables et nous avons blagasse. En fait, au bout d’un moment elle me dit : « J’avais prévu de mettre une jupe droite et au dernier moment j’ai mis cette robe portefeuille, c’est quand même plus pratique pour danser le tango, n’est-ce pas ? » Une série de valses passa et une nouvelle série de slow. Un copain de la bande vint inviter Véro, je n’avais pas réagi assez vite. Elle lui dit : « Désolée j’avais promis cette série à Jean ». Direction la piste. Collée contre moi, elle se remit à rouler doucement des hanches. Quand je pense que je l’avais trouvée peu souple. Le résultat ne se fit pas attendre, elle me murmura à l’oreille : « J’aime te sentir, Tu en as envie, moi aussi. Dis moi que tu as envie de moi». Moi : « Si tu continues comme ça je vais te prendre sur la piste. » Véro : « Enfin une phrase que j’aime. Tu as vraiment envie de moi ? Dis le moi, je voudrais l’entendre » Moi : « Tu ne sens pas la bosse contre ton ventre » Véro : « Si, mais je ne crois que ce que je vois ou quand je ne vois pas que je veux toucher » Moi : « Essayes ! » Sans hésiter, elle s’éloigna un peu de moi et glissa sa main droite entre nous deux et appuya sa paume sur ma tige et elle fit 2 ou 3 aller retour. Ce qui ne fit qu’augmenter ma gène et le reste, et elle me murmura à l’oreille : « Intéressant. Cela devrait pouvoir satisfaire une honnête femme. Dis moi ce que tu as envie de faire, de me faire. Prépares moi. Penses que je peux me conduire comme une salope ou que je ...