1. UNE TRANCHE DE VIE 10


    Datte: 21/06/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... toi. Comme tu le voulais.» Elle me tendit les bras, je la retenais à bout de bras et la regardais avec attention et je lui disais « Tu es vraiment très belle et élégante, cette robe te va à ravir, mais elle cache tes charmes » « Elle est très pratique et il ne tient qu’à toi de les découvrir » Elle se retourna et déboutonna un gros bouton à l’arrière, puis se retourna vers moi. Dans le mouvement qu’elle fit pour se retourner, la robe s’entrouvrit. Elle se jeta alors dans mes bras, se colla et me tendit ses lèvres, s’ensuivit un long baiser, et elle se mit à rouler des hanches. Elle s’éloigna un peu de moi et j’en profitais pour glisser mes mains dans la robe, cela me permit de la caresser et de sentir qu’elle ne portait pas de SG. Je baissais le haut de sa robe ses seins étaient libérés, je les caressais, les léchais, les suçais. Véro : « Oui, occupes toi de mes seins, j’ai les mamelons très sensibles et j’aime que tu les prennes dans la bouche et que tu me têtes, ça me grise » Elle haletait doucement au rythme de ses hanches. Le résultat ne se fit pas attendre, elle put se rendre compte que j’avais envie d’elle. Véro : « Dis moi que tu me veux, que tu as envie de moi, que tu veux me faire l’amour, non que tu veux me baiser comme la salope que je veux être pour toi. N’oublies pas ce que tu as dit que tu t’occuperais de ma chatte, j’en ai très envie» Moi : « Remontes ta jupe. Comme promis, je vais te bouffer la chatte» Sans l’ombre d’une hésitation elle ouvrit complètement ...
    ... sa robe, elle était entièrement nue. Je la pris par la taille et l’aidais à asseoir sur le capot de la voiture. Elle ouvrit largement les cuisses et me dit : Véro : « Tu vois je me suis préparée pour toi. Oui, viens, ma chatte t’attend, prends moi avec ta langue ». Je plongeais entre ses cuisses. Ses grosses lèvres saillaient. C’était une belle chatte déjà légèrement ouverte et bien humide et je commençais à sucer ses grosses lèvres à aspirer son jus, puis ma langue suivi le sillon mouillé de son minou, et brutalement je l‘enfonçais en elle. Elle se cambra avec « Oui » et je m’enfonçais un peu plus, ce qui ouvrit le passage à mes doigts et je commençais à l’astiquer ce qui entraîna un « Continues, oui, continues ». Puis rapidement, elle resserra ses cuisses sur ma tête et me dit : « Viens, prends moi vite, baise moi, je te veux dedans, te sentir en moi, si tu continues je vais jouir et je te veux en moi. Je veux que tu me baises. Baises moi fort, je veux être ta salope». Elle se laissa glisser du capot parterre et soulevant une jambe, elle me guida en elle et soulevant l’autre jambe, elle m’enserra dans le ciseau de ses cuisses. Elle s’était empalée sur moi, je la prie debout, appuyée contre le capot de la voiture. Elle était trempée et largement ouverte. Je m’enfonçais en elle facilement. Pour s’empaler sur ma queue, elle s’était collée à moi, et j’avais pu pénétrer son fourreau chaud et humide puis elle s’était laissée en arrière à bout de bras, ce qui m’avait permit de ...
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