1. On a couché avec Erika de Xstory (1)


    Datte: 11/11/2018, Catégories: Lesbienne

    ... puce et son amie nous racontaient en rigolant diverses anecdotes sur leurs années collège passées ensemble tandis que je discutais de la pluie et du beau temps avec son petit ami, Antonio. Erika nous apprit également que depuis deux ans elle avait démissionné de son emploi d’institutrice pour travailler en tant que modératrice sur un site d’histoires érotiques. Si elle n’en avait rien dit jusqu’à maintenant, c’était uniquement pour une question de discrétion. De mon côté, je crus remarquer à plusieurs reprises qu’Antonio regardait discrètement dans mon décolleté ; mais je m’en moquais, car moi je ne pouvais pas m’empêcher de fantasmer sur sa copine. Je me voyais embrasser cette belle petite bouche pulpeuse, goûter à cette peau à l’aspect si doux, pétrir ces seins que j’imaginais bien moelleux pour finir le visage plongé entre ces belles cuisses à taquiner son clito bien dur du bout de ma langue et boire sa liqueur intime suintant de sa petite chatte douce, rasée, aux lèvres bien roses et gonflées... Hem... C’était pas tout, ça : il fallait songer à manger. — Dis, ma chérie, tu pourrais venir m’aider à préparer les entrées à la cuisine, s’il te plaît ? demandai-je à ma petite amie, espérant qu’elle comprenne que je voulais à tout prix la voir en privé. — OK, ça roule ! dit elle en se levant sans hésitation. — On n’en a pas pour longtemps, et on va fermer la porte pour conserver la surprise… dis-je à nos invités avec un grand sourire jovial. — Entendu ! approuvèrent-ils ...
    ... presque simultanément. Une fois dans la cuisine, je fermai la porte et me tournai vers ma chérie, me permettant ainsi de laisser éclater mon désarroi ; je ne pouvais pas lui annoncer que son amie me faisait de l’effet, de peur de la perdre. — C’est quoi cette embrouille ? lui demandai-je en parlant à voix assez basse pour ne pas être entendues. Tu ne m’avais pas avertie qu’elle était aussi canon, ta copine ! — C’est vrai qu’elle est sublime, mais avant elle ne l’était pas autant que ça, ma puce  ; si j’étais un mec, je dirais qu’elle et sacrément bandante ! — Ouais, ben ça me fait une belle jambe ! Et maintenant, on fait quoi ? Elle marqua une courte pause, sûrement pour réfléchir, puis elle me sourit de façon malicieuse en croisant les bras. — Dis-moi franchement : Erika... elle t’excite, pas vrai ? — Pardon ? fis-je, décontenancée. — Écoute, je te connais, et j’ai cru remarquer que lorsque tu la regardais, tu la dévorais des yeux  ! affirma-t-elle. — Mais non... Je... Enfin, je... Tu... Elle me regarda de façon insistante en levant un sourcil tout en conservant son sourire tandis que je tentais vainement de me justifier. Elle connaissait la vérité : à quoi bon lui mentir ? Je soupirai en acquiesçant. — Oui, ma chérie, elle m’excite… avouai-je, toute penaude, en baissant les yeux. Je te demande pardon. — Ben, pour tout t’avouer : moi aussi. — Hein ? fis-je à voix haute, surprise, en la regardant subitement. — Tout va bien ? Il vous faut un coup de main ? demandèrent à travers la ...