1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1204)


    Datte: 11/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    La Marquise esclave – (suite de l'épisode N°1195) - Nous avions quinze minutes pour être prêtes, nous n’avions pas de temps à perdre pour me retrouver véritablement en tant qu’esclave chienne à Ses pieds… Mes sœurs eurent vite fait de se préparer. Elles se dénudèrent et passèrent leurs colliers d’appartenance au Maître. Je fus un peu plus longue. Après une retouche rapide de maquillage, une ou deux mèches à replacer dans la coiffure, après avoir enlevé cette sublime robe de mariée blanche, dans laquelle j’étais devenue officiellement, aux yeux de la loi française, la Marquise d’Evans, je devais me préparer à devenir aux yeux des lois régissant le monde de la Domination/soumission au Château, la Marquise esclave, à vie. Je passais rapidement la robe bleue que j’avais choisie depuis longtemps pour ce moment que j’espérais et attendais avec tant d’impatience. Cette robe était la toute première que le Maître m’avait offerte. Elle était en parfait état, malgré les années qui étaient passées. J’en avais pris grand soin et elle n’avait servi que pour des évènements particuliers : certaines de nos rencontres en réel hors du Château, du temps où je vivais encore en Bretagne, les différents anniversaires que nous avions pu fêter dans un contexte vanille. Elle représentait tellement de choses pour nous deux… Sans que je ne le sache alors, cela avait été un de mes premiers pas du chemin de soumise vers celui de l’état d’esclave ! Ma belle et lourde poitrine ressortait à merveille du ...
    ... décolleté. Mes accessoires avaient été préparés à l’avance. Je mis également le collier en or incrusté de saphirs formant les lettre ‘MDE’ et que le Maître m’avait offert le jour de mon intégration officielle dans Son Cheptel. La seule différence était la médaille qu’Il avait fait changer. Il n’était plus simplement gravé « MDE » mais « esclave Aphrodite MDE ». Une laisse en or pur y était accrochée. Comme prévu, je mis les pinces à tétons à grelots rouges. Je portais ainsi les trois couleurs de notre mariage. Je posais également deux pinces sur les lèvres intimes de mon sexe. Je portais un bâillon-boule autour du cou, car dans la bouche, je tenais avec mes dents deux roses rouges en guise de bouquet de mariée. Même si ce n’était pas encore nécessaire, on augmenta mon excitation en me passant le même mélange d’huiles essentielles chauffantes et excitantes qui avaient été mises dans mon bain, le matin même… Au bout des quinze minutes imparties, l’Oncle Louis qui représentait en ce jour ma figure paternelle, vint nous chercher. Cette fois-ci, mes sœurs et moi évoluions toutes en quadrupédie. Après une caresse sur ma tête, comme il l’aurait fait pour une petite chienne animale, il saisit ma laisse, alors que mes sœurs nous suivaient « librement », et nous nous dirigeâmes vers la Chapelle du Château située toute au fond de l’immense parc. Dans la communauté D/s et à l’instar des Etats-Unis, où il est facile de créer un ordre religieux et de devenir pasteur, un groupe de Dominants ...
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