Un petit tour de passe-passe sur un matelas
Datte: 12/11/2018,
Catégories:
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Collègues / Travail
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Voyeur / Exhib / Nudisme
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Oral
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... croisé de ces garçons à peine pubères jusqu’aux hommes mûrs qui veulent consoler la petite fille qui a pourtant bien grandi, prétextant qu’ils ne vont pas me laisser seule dans mon lit à avoir peur du noir. Et j’en abuse, même si mon tempérament et ma personnalité y sont aussi pour beaucoup dans cette attirance irraisonnée qu’ils ont pour moi. — Maintenant que le lit est prêt et les bougies allumées, tu ne trouves pas qu’il manque encore quelque chose ? demande Laurent.— Oui, mon souhait est à moitié exaucé puisque pour fêter mon anniversaire et compléter mon fantasme, il manque encore une bougie.— C’est bien ce qu’il me semble. Et là, je reste scotchée quand Laurent prend son portable et compose un numéro puis lance avec assurance : « Jean-Michel, on t’attend ! ». — C’est qui ?— Un collègue et ami. Trente-cinq ans, grand avec du charisme, entouré plus qu’il n’a besoin d’une ribambelle de femmes de tous âges.— S’il est tant sollicité que ça, c’est bizarre qu’il n’ait rien prévu un vendredi soir.— On devait sortir tous les deux en célibataire et se faire une toile.— À choisir, j’aurais fait comme vous en préférant modifier mon programme et échanger la toile contre les draps.— Tiens il arrive. Que le spectacle commence !— Bonsoir jolie dame, dit-il en m’offrant un immense et magnifique bouquet de roses rouges. Une pour chaque année afin de rendre hommage à votre beauté qui s’est épanouie, tout comme ces fleurs de l’amour, jusqu’à aujourd’hui où vous êtes au zénith.— Merci ...
... Jean-Michel. C’est joliment dit mais maintenant qu’on a fait connaissance, décoince-toi. Tu peux parler normalement. Laurent ne peut s’empêcher d’éclater de rire et de rajouter en donnant une tape amicale sur l’épaule de son copain : — Je t’ai prévenu qu’Émilie est spontanée. La soirée promet d’être exceptionnelle.— J’attends qu’elle le soit ! Le premier petit bouton qui s’offre à vous, c’est celui de la radio. Messieurs, musique ! —oooOooo— Ça commence fort. La musique endiablée et mélodieuse qui gicle ses notes à travers tout l’étage du magasin me donne la cadence. Pendant une seconde, je casse ma taille et balance ma croupe sur la droite. La seconde d’après, je reproduis le mouvement sur la gauche. Et ainsi de suite je me déhanche, plantée devant mes deux étalons. J’ai mes jambes écartées à hauteur des épaules et j’ai plié légèrement les genoux pour donner de l’ampleur à mes mouvements. Un coup d’un côté puis un coup de l’autre, je soulève au même rythme les talons fins de mes bottines noires avant de les faire claquer sur le sol. J’adore ce bruit qui résonne. J’accompagne la danse de mon corps et de mes jambes avec des mouvements de bras. Tout d’abord tendus à l’extrême au-dessus de ma tête, j’attrape l’air à pleines poignées puis d’un geste vif et rapide, je place mes mains sur mes cheveux longs. À ce moment, en douceur j’ouvre mes doigts avec délicatesse comme pour libérer l’oxygène puis j’enduis ce baume imaginaire en caressant ma chevelure d’une manière érotique. La ...