1. Dans le train à vapeur (2)


    Datte: 06/08/2017, Catégories: Hétéro

    ... détache. –Vas-y maintenant. Je commence mes va et vient lentement. Elle ondule du bassin, me prend la tête et m’attire pour m’embrasser de nouveau. Nos langues jouent ensemble à se chatouiller, s’éviter, se rejoindre, se câliner pendant que nos sexes se moulent l’un dans l’autre pour s’harmoniser et faire monter le plaisir dans nos corps. Comme j’ai déjà jouis, ce petit jeu dure quelques minutes avant que le plaisir ne nous rattrape et nous fasse exploser de bonheur. Nous sommes secoués dans tous les sens, ma tête est sur le point d’exploser, mon corps est de nouveau envahi par ces feux d’artifices qui m’électrise. Je me vide en elle sans même m’en rendre compte, je ne suis plus maître de mon corps. C’est encore plus fort que ce que je viens de ressentir tout à l’heure. Elle me serre encore plus fort, tendue comme un arc. Je suis concentré sur mon plaisir, égoïstement. Nous nous calmons lentement toujours enlacés. Je reste un instant sur elle, en savourant ce moment, peau contre peau, pendant que ses mains glissent sur mon dos et mes fesses. –Tu as aimé ? –Oui, beaucoup, je ne peux même pas décrire ce que j’ai ressenti et toi. –Pour une première fois, ce n’était pas mal du tout, tu as réussi le principal, tu m’as faite jouir, et bien jouir. C’est peut-être le fait que tu sois puceau qui m’a faite jouir comme ça. –Pourquoi. –Parce que pour toi, c’était la première fois, et c’est toujours excitant pour une femme d’initier un homme. Elle a dit « homme » en parlant de moi, ...
    ... intérieurement, je jubile, c’est vrai, je suis un Homme. Elle me regarde avec une infinie tendresse, m’attire à elle et m’embrasse passionnément. Je sens que son corps se détend petit à petit, je me redresse, la libère et me lève. Elle reste allongée, les yeux fermés, le visage détendu et serein. Je la regarde un instant, si belle, si attirante, offerte. Je m’assoie sur l’autre banquette, remonte le rideau et regarde défiler le paysage, la tête dans les nuages. Je ne sais pas combien de temps je reste comme ça, pas plus de vingt minutes, mais quand je pose mes yeux sur Josette, elle dort. Je la laisse dormir encore cinq à six minutes, mais je suis trop excité par ce qui vient d’arriver et j’ai encore envie de connaitre ça. Je la réveille en posant mes lèvres sur les siennes, jebande de nouveau. Elle ouvre les yeux et remarque mon état. –Oh là, il va falloir calmer tes ardeurs. Tu aimes ma chatte ? –Ta quoi ? –Décidemment, ma chatte, mon minou, mavulve, mon sexe. Tu sais ce que c’est un sexe. –Bien sûr. –Et bien, est-ce-que tu l’aime, est ce que tu aimes me le manger comme tout à l’heure ? –Je peux même dire que j’adore. –Alors, bon appétit. Elle écarte ses jambes, je comprends l’invitation et plonge sur ce magnifique coquillage qui n’attend que moi. Je le suce, le lèche, l’aspire, le titille jusqu’à ce qu’elle se dérobe et se lève. Je la regarde un peu étonné. –Assoie toi. Je m’assoie sur la banquette, mon sexe pointe vers le plafond. Elle se retourne et vient s’assoir sur moi. Sur ...
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