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COLLECTION BLACK. Je craque. (1/1)
Datte: 12/11/2018, Catégories: Dans la zone rouge,
Je suis marié avec Adrien depuis vingt ans et je suis resté fidèle jusqu’à ce soir de décembre où cette aventure insolite m’a rattrapé. À trente-huit ans je suis resté une jolie femme faisant attention à ma ligne. Tous les matins je fais mon jogging dans les allées du parc de notre ville avant de rentrer, prendre une douche et aller à mon travail. Mon chef de service est un très beau black à qui j’aurais bien cédé s’il me l’avait demandé mais il est fidèle à sa femme et j’en suis pour mes frais. Un jour que j’attaquais le deuxième tour du parc, un homme de même couleur est arrivé à ma hauteur et mon regard s’est immédiatement posé sur son collant. Son sexe devait être de ceux que je voyais sur le net seul endroit où mon voyeurisme me permet d’assouvir mon envie de regarder leurs engins gigantesques. • Allée fillette, fais-moi voir ce que tu as dans le ventre, suis-moi. Voulant lui faire voir que mon ventre était à la hauteur du sien je l’ai suivi perdant quelques mètres avant d’arrivée à ma voiture. • Bravo fillette, tu sais courir comme moi je sais baiser. J’ai vu que tu portais ton regard sur la bosse de mon collant, tu flashes sur les grosses bites noires. Je suis monté en voiture sans répondre, car que dire. « Oui je rêve de ta bite qui doit avoir la grosseur de celle que j’admire depuis des semaines ». Le lendemain dans ma boîte aux lettres une petite carte avec le nom d’un bar dans la partie plus que louche de ma ville. Le nom était assez explicite « black bar ». ...
... Pendant un mois je résiste jusqu’au jour où Adrien part pour un séminaire me laissant seule, mon fils et ma fille étant partis pour quinze jours chez mes parents en Gironde. Vers dix heures la carte est dans mes mains et je la retourne dans tous les sens, un dernier regard au site porno que je sollicite chaque fois que je veux voir une belle queue longue et massive noir ce qui me convint de me rendre dans ce bar où j’espère retrouver mon joggeur. J’arrête ma voiture à quelques centaines de mètres du bar ayant un mouvement de légère peur car le quartier est très glauque. Pourquoi être venu jusqu’ici pour reculer, je descends m’apercevant que j’ai peut-être une tenue un peu osée pour le quartier ? Il est trop tard pour reculer et je me rapproche de l’enseigne que je vois briller dans la nuit. En chemin je croise plusieurs groupes de blacks qui tous me sollicitent pour venir tâter de leur queue. Je mouille de peur mais aussi d’excitation, comment moi la femme sans histoire depuis mon mariage j’ai pu décider de faire basculer ma vie à cause de ces queues qui hantent mes nuits. Le fait qu’Adrien est moins demandeur depuis quelques mois me donne envie mais la présence de mes enfants a permis que je sois raisonnable. L’absence des trois a dû déclencher dans mon cerveau un besoin d’interdit aussi j’arrive au bar ou je pousse la porte contente d’arrivée sans avoir été violée. Le bar a une lumière tamisée et quand j’entre malgré la nuit mes yeux mettent quelques secondes à s’habituer. Ils ...