1. La délurée Justine est bonne à marier


    Datte: 12/11/2018, Catégories: f, fh, cadeau, Inceste / Tabou campagne, soubrette, cérébral, revede, init, exercice, portrait,

    ... travers votre pantalon, à m’avoir écouté vous conter la poudre des pavots plutôt que fleurette ! Dites-moi ? —oooOooo— Aussitôt après, Justine sort de la bibliothèque et referme la porte derrière elle. Dans le couloir, impassible face à eux trois, elle les fixe du regard et leur demande de parler en sourdine pour ne pas éveiller l’attention de Louis. Chose facile cette fois-ci, car le plus coriace, monsieur Montfort a perdu sa verve et reste sans voix. Il en est rougeaud, gêné, choqué et honteux d’avoir été le témoin d’un tel échange verbal. Madame Montfort semble simplement embarrassée, tandis que Constantin… c’est indéfinissable. Justine ne peut deviner ce qu’il pense ou ressent. Mais elle espère son pardon d’en être arrivée jusque-là. Justine repense à ce qui vient de se passer. Et l’instant d’après, ils se retrouvent tous déconfis de la voir passer au sourire, puis à l’éclat de rire. Constantin en devient livide. Monsieur Montfort sort enfin de sa léthargie en rétorquant à grande voix : — Quel toupet vous avez là de nous avoir fait subir cette infamie ! Regardez mon fils, il est blanc comme un linge grâce à vous.— Je vois cela, mais il aurait pu rougir, ne trouvez-vous pas ? De quoi m’accusez-vous monsieur Montfort, au juste ?— Jeune fille, j’affirme que vous vous donnez à pratiquer des jeux d’amour avec Louis, mon comptable !— Quelqu’un a-t-il quelque chose à rajouter ? demande Justine, la bravache.— Parlez, ma mie, dites ce que vous avez entendu, voyons ! supplie ...
    ... monsieur Montfort. Avec un tel tapage, Louis ne pouvait qu’entendre et le voilà qui se retrouve dans le couloir, en face d’eux, d’un air médusé. Voyant tout ce monde, il réalise qu’ils avaient les oreilles tendues et trouve plus sage de ne rien dire de compromettant. Madame Montfort regarde tour à tour Justine et Louis, puis parle à son tour d’une voix particulièrement basse et hésitante. — Il est vrai que vous ne pouvez nier, chère enfant, que les propos que nous avons entendus de votre bouche ne sont pas à mettre entre toutes les oreilles. Je vous ai écoutée tenir un langage que mon époux aurait aimé que vous châtiiez. Le rôle de Louis a été de vous séduire et vous avez utilisé des mots pour promptement l’encourager à davantage. C’est un véritable récit de chaudasse que vous nous avez proposé là. À écouter les mots choisis avec attention par madame Montfort, Justine pense avoir compris et quand les deux femmes croisent leurs regards, juste une seconde, elle sait qu’elle a raison ! —oooOooo— La jeunette propose à tous d’entrer et de s’installer dans la bibliothèque pour quelques explications. Les chaises et les fauteuils suffisent tout juste. — Qu’avez-vous à dire Louis à propos de ce qu’on vient d’entendre ? interroge alors monsieur Montfort qui a retrouvé un peu de contenance. Mais Justine qui se doit de le défendre et de protéger ce qui peut l’être, ne le laisse pas répondre : — Si vous cherchez à savoir, il vous faut regarder ici ! Et voilà d’où viennent tous ces méfaits, ...
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