1. Un début prometteur... (3)


    Datte: 13/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Jamais je n’aurais imaginé le plaisir masochiste que j’allais prendre dans les jours suivants. Etre cocu est parfois une souffrance. Dans mon cas, celle-ci n’a pas duré longtemps car Éric est un amant fantastique. Il donne énormément de plaisir à Sarah, qu’il baisera plusieurs fois par jour jusqu’à la fin du séjour. Mais il n’abandonne pas le cornu pour autant. Peu après avoir baisé la première fois mon épouse, il l’a envoyée dans la chambre se mettre en maillot.  Tu as un bikini string ?  Non Monsieur  Tu peux m’appeler Éric. Tu vas dans ton bungalow en string, juste avec ton tee-shirt. Et tu mets ton bas de bikini le moins large, en faisant remonter un maximum de tissu en haut des fesses. Et tu reviens ici  A tout de suite ! Et elle vole un baiser à Éric en partant. Sans un regard pour moi.  Cocu, tu as un appareil photo ?  Oui Monsieur  Très bien. A compter d’aujourd’hui, quand je serai avec ma femelle, je veux que tu aies ton appareil à tout moment avec toi. C’est compris ? Tu pourras ainsi immortaliser nos jeux et branler ta pauvre petite queue en y repensant. Tu as aimé me voir baiser ma pute ?  Oui, c’était très excitant.  Crois-moi, je ne vais pas m’arrêter là. Elle a un très gros potentiel, tu verras. Sarah revient à ce moment-là avec son maillot noir, remonté comme indiqué par Éric, mais c’est loin d’être indécent. Disons que lorsque je les rejoins à l’accueil de l’hôtel, quelques minutes plus tard, les regards des personnes à l’accueil en disent long ...
    ... sur la sensualité que ma femme sème dans son sillage. _________ Moi qui aie toujours refusé à Stéphane de faire du « seins nus », me voilà à l’arrière d’un taxi qui roule doucement, sûrement pour allonger le trajet, car Éric m’a fait relever mon tee-shirt au-dessus des seins dès le début du trajet. Il explique au chauffeur la situation, avec un naturel désarmant, comme si cela était parfaitement normal, et sur un ton identique à toute discussion éphémère et anodine que l’on peut mener dans un taxi. J’ignore si Éric connait notre chauffeur, mais le moins que l’on puisse dire est qu’il prend un certain à humilier Stéphane. Et le pire est que ça ne semble pas déranger mon petit mari, que je connais bien. De mon côté, entendre ce type un peu vulgaire demander à mon mec s’il aime que sa « pute de femme » (selon ses termes) se fasse baiser par un autre me rend très excitée. Cela m’aurait semblé irréaliste il y a quelques jours à peine, mais là je dois reconnaître que j’aime ça. Éric le sent, et le doigt qui a pris possession de ma fente trempée le lui confirme. Il me glisse à l’oreille que le chauffeur a raison, que je suis faite pour le sexe, mais pas avec mon mari. Et je crois qu’il a raison. Alors même qu’il est cocu depuis à peine une heure, Stéphane semble réellement heureux. Ça me déstabilise beaucoup, mais je sais qu’il en rêvait depuis longtemps. Très excitée, je décide de prendre l’initiative, car Éric ne me l’a pas interdit, et je me penche pour prendre sa belle queue en ...
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