1. d**g store


    Datte: 13/11/2018, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    Mon truc était de potasser au d**gstore. J'escomptais de la sorte réussir aux examens. Mon père n’avait assez de mots pour vilipender ma méthode. Il stigmatisait ces générations de barbares ayant addiction que pour le bruit et la foule et ne cogitant jamais aussi bien que dans une pareille fureur. J'avais beau jeu de lui démontrer que jamais n'avais-je fait défaut lors de mes études. Seul le résultat comptait. Depuis c'était devenu un sujet de plaisanterie entre nous et je pouvais en toute impunité pousser la porte de mon d**gstore. Outre de siroter j'y goûtais aussi les jolis minois de passage.Mes dix-huit ans me limitaient à celles de mon âge. Je n'en rêvais pas à moins à ces femmes plus mûres aux sortilèges redoutables. Lors de dernières vacances j'avais été l'amant d’une belle quadra mariée qui m'avait converti irréductiblement au charme puissant de la fellation. Je n'avais de cesse de retrouver ces caresses et cette qualité d'étreinte. Du coup je trouvais quelque fadeur à toutes mes jeunettes. Celles-ci me le rendant fort bien sortant souvent avec des types plus âgés qu'elles. Je trouvais dans Platon une défense et illustration de cela. Jeunesse et vieillesse devaient se mêler.Un matin dans une salle assez déserte, je vis dans un coin, une femme semblant perdue comme moi dans des livres. Je perçus que son activité était autant studieuse que la mienne. J'en déduis rapidement qu'elle devait être de la gente professoral. Nous ne boxions pas dans la même catégorie.Ces ...
    ... lunettes loin de m'être rébarbatives m'attiraient au contraire lui ajoutant un je ne sais quoi. Le vulgaire eût déblatéré le fameux adage : »Femme à lunettes, femme à ... » Comme il se doit elle s'aperçut de mon intérêt elle et en joua par d'imperceptibles mouvements de coquetterie.Je pouvais me targuer de plaire aux femmes. Il n'était pas avéré cependant que celle-ci eût voulu dans son lit le tendron que j'étais. Ainsi en étais-je réduit au rôle de faire-valoir et de flatter l'amour-propre d'une jolie femme. Je remarquais ses belles jambes serties de bas. Elle portait des escarpins à talons hauts. J’avais appris à adorer ces instruments. Elle en jouait. Elle avait quelque affection pour ce jeu qu'on appelle dangling et qu'une femme parvient si mal à expliquer. Le résultat étant que par là tel un derviche tourneur elle me subjugua. Cela acheva de me rendre fou dingue.Le lendemain et les jours suivants nous occupâmes chacun nos places respectives. Nous nous saluions maintenant par un sourire et un mouvement de tête. Notre complicité était manifeste. C'est elle qui fit le premier pas percevant en ce gaillard, vrai un timide. Elle eût confirmation que je bossais mes examens et crut devoir soutenir que mon père avait raison. Que le cadre choisi n'était pas raisonnable, ponctuant cependant par ce propos : « Mais je concède que je suis de la vieille école. Vous n'êtes le seul à goûter le bruit et l'agitation. » J'y découvris deux beaux yeux bleus.Avec à propos j'aurais pu lui rétorquer ...
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