1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (17)


    Datte: 13/11/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... savoureux ; voir ma sœur sucer un étranger était jubilatoire. Quant à moi, je bandais comme un Turc ; j’avais une envie folle de me masturber. J’avais très chaud. Je me suis déshabillé entièrement, arborant ma queue ; Michel me détailla de la tête aux pieds et fixa ma bite que j’astiquais avec frénésie. Installé confortablement sur le canapé, la bite en main, je me caressais et admirais Justine enflammer le jeune livreur. Accroupie, elle faisait remonter ses mains le long du corps de Michel, puis se leva et joua un instant avec les petits tétons de son partenaire. Ils s’embrassèrent tout d’abord avec timidité, puis ils se rapprochèrent, serrés l’un contre l’autre, corps contre corps ; Justine ondulait, faisant rouler le sexe du beau livreur contre son pubis nu et imberbe. Si je n’avais pas su qu’ils venaient de faire connaissance, leur comportement aurait laissé à penser qu’ils étaient de vrais amoureux. J’eus comme un frisson, un courant glacé accompagné de picotements dans mon dos ; je sentais monter en moi une vague de jalousie, mais ma position de maître reprit le dessus. — Michel, viens ici t’asseoir à côté de moi. Toi, Justine, masturbe-toi, là, devant nous ; mais interdit de jouir ! Michel me rejoignit, la queue à la main, raide comme un bâton. Je dois convenir que lui aussi était bien monté : une belle bite longue et fine au gland boursoufflé par le désir. Une idée me vint en tête. Justine, face à nous, se caressait comme l’aurait fait une actrice porno, passant ses ...
    ... mains partout sur son corps en insistant sur sa chatte brillante et dégoulinante de son jus. Elle en préleva une partie avec ses doigts qu’elle lécha avec gourmandise en enfonçant ses doigts l’un après l’autre dans sa bouche, les léchant comme s’il s’agissait d’une glace. Son autre main caressait ses seins et torturait ses tétons gonflés et durs de désir ; elle miaulait, sa respiration devenait plus profonde : je savais qu’elle était proche de l’orgasme. — Justine, viens t’empaler sur Michel. Moi, je vais t’enculer. Elle me fixa du regard et son visage s’éclaira : j’avais touché sa corde sensible. Elle adorait la double pénétration. Nous la pratiquions souvent, mais aujourd’hui il y avait une grande différence : habituellement la deuxième bite était un gode, mais ce jour là elle avait droit à deux vraies bites. Elle se dirigea vers Michel, le prit par la main et l’emmena s’installer sur l’épais tapis en laine placé devant la cheminée ; faire l’amour sur un tapis en laine épaisse et devant un feu de cheminée est magique, on l’a fait. Elle le fit s’allonger sur le dos et s’empala sur le sexe offert. Il n’y avait aucune parole, sauf ses soupirs ; elle se cabrait en s’enfonçant sur le pieu de Michel. Je me suis installé derrière elle. Recroquevillée sur elle-même telle une grenouille, elle m’offrait son intimité déjà ouverte, ou plutôt pas encore refermée (elle était restée longtemps avec le string et ses deux godes). C’est sans aucune difficulté que mon membre glissa en elle. À ...