La belle Hélène
Datte: 13/11/2018,
Catégories:
fh,
amour,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
... m’apparaît en entier son trésor, « le fruit d’Ève fendu » aux lèvres déjà perlées.Enfin ! Enfin, le voilà, le jardin d’Esméralda ! Le temps s’arrête à l’horloge de Lucifer. Hélène resserre un peu ses jambes pour me permettre de glisser la culotte à ses pieds. Des deux mains, j’ouvre ses genoux et mes lèvres entament un envoûtant pèlerinage. Elles vont de l’une à l’autre cuisse en explorant chaque parcelle de peau veloutée, lentement, en picorant, en effleurant, en goûtant. Elles arrivent enfin au promontoire de chair. Je l’agace d’abord avec les dents, puis ma langue descend et remonte sur le sillon moite, s’y insinue. Hélène tressaille à nouveau, son soubresaut écrase son abricot contre ma bouche. Avec les doigts, j’écarte ses lèvres en continuant à lécher de haut en bas. Son fruit est délectable, son bouton durci. Je le titille. Mouvements circulaires alternant avec caresses rapides de la pointe de ma langue. J’introduis un doigt dans sa caverne trempée, et lui imprime un timide mouvement de piston. Le souffle de mon Esméralda raccourcit, sa respiration se fait sifflante, ses doigts se crispent désespérément sur la couette. J’accélère la cadence. De brèves contractions commencent à agiter son ventre, accompagnées de mouvements saccadés du bassin. Je lui relève les cuisses en les écartant au mieux, ses genoux touchant presque les épaules. Un second doigt puis un troisième viennent rejoindre le premier. Je pistonne de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ma langue, ...
... mes lèvres et mes dents s’acharnent sur le fruit épanoui. Des tremblements incontrôlés viennent courir sous la peau des cuisses. Leur étau se referme soudain sur moi. Un flot m’inonde le visage, puis Hélène s’arc-boute, en émettant une longue plainte rauque. Elle jouit avec fureur. La fureur de jouir. Elle reste ainsi tétanisée durant cinq bonnes secondes puis se relâche comme une poupée de chiffon, vidée par le plaisir. Vidée ? Inacceptable ! Je suis dur comme un citoyen de la forêt d’Anduze et, comme on le dit peut-être là-bas, quand le bambou se dresse, la raison s’affaisse. Mes vêtements volent sur la moquette. Je ne suis plus qu’un désir à l’état brut. Hélène a resserré ses jambes, ce qui ne met que plus en valeur le triangle de chair bombée, entre le haut de ses cuisses. Un vent de folie s’empare de moi. Mes vêtements volent sur la moquette. Hélène m’observe, son regard est fixe. Il y a comme un éclat trouble dans ses prunelles, oserais-je dire une délicieuse lueur de perversion ? Elle se relève en deux temps : sur les coudes, puis assise. Elle enlève son chemisier, mettant sa poitrine en avant, mais je l’arrête lorsqu’elle entreprend la fermeture du soutien-gorge. Ce plaisir-là, je me le réserve. Elle pose alors une main sur ma hanche, et de l’autre s’empare de mon membre. Son visage se rapproche, ses lèvres s’ouvrent, elle me happe. Cela tourne au merveilleux conte de fées, avec la plus gentille d’entre elles : Lation.(Si, si, lecteur ! Elle existe, je viens de la ...