1. Le Jardin de Bethel


    Datte: 13/11/2018, Catégories: contes, fh, jeunes, inconnu, jardin, amour, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, intermast, Oral jeu, conte, fantastiqu,

    ... de chèvrefeuille venait jouer de la flûte tout près de lui, et de la terre surgissait un rameau fragile mais qui rapidement se développait et devenait un bel arbre couvert de fleurs d’un rose tendre. Le jeune sultan s’approcha de la jeune fille et lorsqu’elle le vit, elle sourit sans cesser de jouer de la flûte…la musique comme la veille emplissait l’âme, le coeur et le corps du jeune homme jusqu’à le faire défaillir de désir…La tête lui tournait, ses lèvres étaient sèches, tandis que la flûte, s’échappant des doigts de la jeune fille, se mettait à faire pousser les fruits de l’arbre: lorsque des pêches parfumées et ocrées apparurent aux branches, la jeune fille tendit ses bras à son amant et lui dit : — Viens t’étendre sous l’arbre avec moi et continuons ce que nous avions commencé…— Dis-moi d’abord qui tu es…répondit le jeune homme, troublé. Mais une fois encore la jeune fille ne répondit pas…Elle entraîna son amant dans une ronde délicieuse de caresses et de baisers, sans que jamais le jeune sultan ne trouve le courage de la repousser. Les doigts fins caressaient ses cheveux, doucement, voluptueusement, faisant tourner les boucles ondoyantes. Puis les lèvres douces effleuraient son front, ses tempes, son cou et elles murmuraient des mots tendres qui le bouleversaient. Lui tentait de répondre, mais la jeune fille lui fermait la bouche d’un baiser, avant de lui glisser à l’oreille : — Profitons de ce moment, sans promesses, sans remords ni regrets, sans passé, sans ...
    ... avenir. Je suis venue à toi librement, je veux qu’il en soit de même pour toi. Et que rien ne t’oblige à me choisir après. Le sultan, ému de la sincérité et du respect de sa compagne, l’enlaça plus étroitement avant de la coucher sous lui. Son désir d’elle montait au même rythme que sa tendresse et c’est avec une lenteur dont il ne se serait pas cru capable, qu’il entreprit de dégrafer bouton après bouton, la tunique de la jeune fille, accompagnant chaque geste de caresses douces et de baisers. Un cou gracile, des épaules rondes apparurent, émergeant du tissu soyeux, invitation à la douceur et à la morsure…puis, de l’échancrure brodée, le jeune homme dévoila un, puis deux fruits ronds et dorés que sa bouche encercla et dégusta avec délice…La peau, vanillée, avait un parfum de cannelle et de menthe poivrée et lui donnait l’envie d’aller plus avant, là où la chaleur donne à l’épiderme une saveur musquée et enivrante. La jeune fille avait fermé ses yeux de bonheur, et laissait le plaisir l’envahir par vagues, tout en caressant son compagnon…L’heure était douce et la brise légère, dans une pluie de pétales roses, enveloppait les amants de sa bénédiction. Le sultan, à présent, caressait le ventre rond, palpitant, les hanches délicates, tandis que sa bouche traçait un chemin humide de volupté connu d’elle seule. Les doigts du jeune homme écartaient les dernières agrafes de la tunique avant de trouver, au repli le plus secret, la conque douce, veloutée et duveteuse. Caresse du pelage ...
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