vacances en bateau confession cocu première partie
Datte: 14/11/2018,
Catégories:
Première fois
Inceste / Tabou
... parce qu’ils ne te connaissaient pas, n’hésitaient pas à me draguer, à me donner envie. — Je crois que je comprends. Quelle expérience as-tu préférée ? La fin de nuit avec les deux marins en même temps ? Le masseur ? Le coup vite fait avec Pablo ? — Tu me gênes avec tes questions. Tu ne serais pas en train de remuer le couteau dans la plaie ? Tout ça n’était rien, je t’assure. Qui c’est, ce Pablo ? — Le barman avec qui tu as couché dans leur salle de repos. Vous aviez discuté dans la discothèque. — Ah oui, le gentil petit brun. Je ne savais même pas son nom. Tu vois, ça ne compte pas. — Et donc, le trio, c’est bien ? Deux hommes pour toi ? Je sais que tu voudrais changer de sujet, mais je crois qu’en parler me facilite la vie avec ces idées. Si je ne sais pas tout, ça va tourner dans ma tête jusqu’à ce que j’explose. Je préfère m’habituer à ces images avec toi. — Tu veux vraiment tout savoir? Non, le trio avec les deux marins, ça a été nul. Ils m’ont baisée tous les deux l’un après l’autre comme des lapins, j’ai presque rien senti. Après, ils se sont endormis comme des masses. En fait, ça m’arrangeait un peu : moi aussi j’étais complètement crevée. Par contre, le trio avec Jean-Pierre et Sylvain, deux des gars du groupe d’amis que je me suis fait, là, c’était du lourd ! Eux m’ont sautée pendant plus d’une heure, toujours à deux. Ils m’ont caressée, pénétrée, fait jouir comme rarement. Celui-là, c’est un bon souvenir. — Et les cinq-à-sept avec le capitaine ? — Merde alors, ...
... c’est vrai que t’es au courant de tout ! Oui, le capitaine… C’est un expérimenté ; c’est aussi le mâle alpha, le dominant de la communauté. Il a l’aura, la prestance et l’énergie de sa position. C’est un excellent amant. Ce sera un bon souvenir. S’il te plaît, on arrête : je trouve ce déballage vraiment malsain. Oui, certains m’ont donné du plaisir. Et même quelques fois beaucoup de plaisir. Mais tout ça n’a été qu’un jeu ; l’homme que j’aime, c’est toi et personne d’autre. Je t’en prie, pardonne-moi et passons à autre chose. S’il te plaît, mon amour.Mon cerveau part dans tous les sens. Je suis fou de jalousie pour ce capitaine, pour ses amis aussi qui l’ont si bien aimée. Les autres ne représentent rien, c’est vrai, mais ceux-là, comment vais-je pouvoir les affronter face à face ? Il n’y a qu’en essayant qu’on sait. — Quelle heure est-il ? — Il doit être à peu près une heure. — As-tu faim ? — Oui, très. Tu veux manger en cabine ? — Non. Je veux sortir. On va au restaurant, et tantôt je t’accompagne au karaté. On va voir dans quelle forme je suis. — Bien ! Ça, ça me fait plaisir. À quel resto veux-tu aller ? — Tu les connais mieux que moi. Je te suis.Je m’habille et on rejoint le pont supérieur, jusqu’à un restaurant de taille plutôt réduite pour ce navire. L’ambiance est moins bruyante qu’au snack ou j’avais petit déjeuné. — Dis-moi, la table du capitaine, elle est ici ? — Ah non. C’est dans le grand salon. Le service est assuré là-bas spécialement pour le capitaine et ses ...