vacances en bateau confession cocu première partie
Datte: 14/11/2018,
Catégories:
Première fois
Inceste / Tabou
... aussi. On est dix-sept : il n’a jamais eu autant de monde sur une croisière. Et surtout, il y a deux ceintures noires et une bleue. Et la bleue est une femme. Ça a été super. Tu peux venir l’esprit tranquille, je ne pense pas que tu vas t’embêter. Le prochain cours est après-demain.Sophie me regarde, l’air un peu gêné. — Dis-moi, je ne sais pas comment te dire ça, mais j’ai croisé deux amis du groupe dont je t’ai parlé ; ils étaient inquiets de ne plus me voir. Ils ont voulu savoir comment ça se passait entre nous. Je les ai rassurés et j’ai essayé de leur expliquer qu’on voulait prendre une sorte de nouveau départ pour notre vie commune. Ils sont heureux pour moi. Je crois que tu leur as fait peur : quand tu t’es dressé lors de leur visite à notre cabine pour prendre de mes nouvelles, tu étais effrayant ! Grimaçant, même. Avec ton gabarit, c’est impressionnant… Et puis tu t’es effondré d’un coup. On en a bavé pour te traîner jusqu’au lit. Aujourd’hui, ils voudraient nous inviter pour se faire pardonner et te convaincre qu’ils peuvent être de bons amis sans aller plus loin que ça. Si tu veux bien, ça me ferait plaisir, mais si tu estimes que leur présence t’indispose, je comprendrai. — Je t’ai dit que j’avais totalement confiance en toi ; ce n’est pas une blague. On va manger avec eux, mais d’ici-là je vais piquer le cinq-à-sept du capitaine. Au fait, j’espère qu’il ne t’attend pas dans ta cabine ? — Non. Avant le karaté, je suis allée le voir pour lui rendre la carte de la ...
... fameuse cabine. J’ai mis les choses au clair. Pour lui, il n’y a aucun problème. Je dirais que c’est un homme bien élevé…Elle n’a pas vraiment eu le temps de finir ; je me suis jeté sur elle et ma bouche a écrasé la sienne ; j’avais tellement envie d’elle… On a fait l’amour comme des amants frustrés et pressés.Le repas du soir a été un soulagement. Je n’ai pas fait de fixation sur le fait que les gens présents avaient presque tous couché avec mon épouse ; au contraire, j’ai essayé de les connaître, de discuter avec eux, de blaguer. J’ai fait du charme aux deux femmes – très jolies d’ailleurs – et j’ai trouvé plein de centres d’intérêt communs avec les hommes. On a rigolé comme des fous jusqu’à minuit passé. On a sérieusement picolé aussi. J’ai commencé à sentir la fatigue à ce moment-là ; j’ai décidé de renter me coucher. Les autres allaient à la discothèque. Ils ont proposé à Sophie de venir avec eux, en tout bien tout honneur, comme on dit. Elle hésitait. — C’est qu’on va se lever assez tôt demain pour la visite à Madère ; je ne voudrais pas être trop décalquée. Et puis je suis un peu embêtée d’abandonner mon chéri si vite. — Ne t’inquiète pas, ma puce : je suis lessivé, je vais dormir. Amuse-toi un peu, ne rentre pas trop tard.Puis plus doucement, à l’oreille : — J’ai confiance, ne crains rien.J’ai repris, plus fort, et m’adressant aux autres : — Par contre, elle a bu beaucoup plus que d’habitude. Vous la ramènerez à la cabine ?Ils ont bruyamment confirmé et je suis parti ...