1. Nouveau souvenir et première nuit


    Datte: 21/06/2017, Catégories: f, fh, hplusag, jeunes, profélève, fépilée, vacances, école, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, init, ecriv_f,

    ... farce. Mes résultats étaient excellents et il était improbable qu’un jeune professeur perdît son temps à donner des cours particuliers à une première année, surtout après les examens. Mais ceci m’importait peu. J’allais le voir, je passerais du temps avec lui, seule. Aussi surprenant que cela puisse paraître, nous fûmes, les premiers temps, remarquablement sages. Je ne voulais pas me livrer tout de suite à lui, d’abord par simple prudence élémentaire, mais surtout parce que plus il me plaisait, plus je souhaitais faire durer le plaisir de l’attente. Nous nous voyions tous les jours dans son bureau. Il me proposait des cas pratiques dont nous discutions ensemble. Notre intimité grandit peu à peu, nous abandonnâmes le « vous » pour nous tutoyer et nous nous appelâmes bientôt par nos prénoms. La séduction était permanente. Je venais à son cours avec des vêtements légers, et je m’arrangeais toujours pour que son regard ait un endroit où s’arrêter. Nos mains se frôlaient quand nous nous échangions des papiers, nos regards s’accrochaient parfois l’un à l’autre… Ma peau me brûlait en rentrant chez moi et mes séances masturbatoires devinrent quotidiennes et plus acharnées encore : je passais mes soirées seules dans mon lit à me caresser doucement pendant des heures puis, quand l’excitation atteignait le point de non-retour, comme rendue furieuse d’excitation, je branlais sauvagement mon clitoris tout en me pénétrant avec le manche d’une brosse à cheveux. Je le voulais, je voulais ...
    ... vivre avec lui et je voulais sa queue. Je voulais être sa femme et sa petite chienne. Je voulais son amour et je voulais sa luxure. Vint le dernier cours particulier. — Dis-moi, Sandrine… Est-ce que cela te dirait… pour fêter cela… d’accepter une invitation au restaurant ? Un coup d’œil inquiet et, j’en jurerais, une certaine rougeur au front, pour la première fois… Quant à moi, mon cœur battait, mes tempes cognaient… — Oui… je… oui, oui.— Disons à 21 heures, place Bellecour ?— D’accord ! Et je sortis presque en courant de son bureau. Je crois que je ne pensai même pas à lui dire au revoir. Nous mangeâmes aux Trois Dômes, un excellent restaurant lyonnais. Inutile de dire que je tombai définitivement amoureuse de lui pendant le repas. Il se montra doux, attentionné, charmant, sut prendre son temps et, lorsqu’il me prit la main au dessert, ce fut sans brusquerie, sans timidité non plus. Après le repas, nous nous sommes retrouvés sur le trottoir. Je lui ai pris la main droite et l’ai portée à mes lèvres. Il s’est penché sur moi et sa bouche s’est posée sur la mienne, nos langues se sont mêlées… Ce fut un baiser tout en douceur, tout en retenue, mais un baiser qui, nous le savions, en appelait d’autres. Mes souvenirs sont flous et je ne sais comment nous nous sommes retrouvés chez lui, à quelques pas du fleuve. Je suis nue, étendue sur son lit recouvert de drap blanc. Mes cuisses sont écartées et je sais que je l’excite. Je sais que mon corps de gamine de 18 ans, mes petits seins, ...