1. À nous la liberté !


    Datte: 14/11/2018, Catégories: fhh, ffh, 2couples, fplusag, couple, inconnu, sexshop, boitenuit, miroir, Oral Partouze / Groupe hsodo, exercice,

    ... respiration de Vanessa me souffle de l’air chaud dans le cou. Elle halète comme une femme qui accouche. Mais ici ce n’est pas un bébé qui sort, mais une bite qui rampe dans son cul, se frottant à la mienne qu’elle repousse pour se frayer un passage. Si son cul est aussi étroit que le con, nos deux bites doivent lui remplir les entrailles. Mais pas un cri, pas une remarque, que de petits souffles et gémissements que l’on peut interpréter comme on veut. Enfin le mari a rempli sa part de mission : son ventre touche les fesses de sa femme. Par-dessus le corps que nous possédons, il me sourit. C’est un sourire de conquérant et non pas de soumis. Je comprends que sous la direction supposée de Vanessa, c’est lui en réalité le réalisateur de ce projet avec une mise en scène réglée comme une pendule, et probablement répétée de nombreuses fois. Il envoie sa femme à la recherche d’un candidat pour ses envies. C’est un candauliste confirmé qui ajoute la participation à la vision de sa femme baisée par un autre. Vanessa se redresse. Elle reprend sa danse, ondulant du bassin sur les deux vits de chair qui la remplissent, puis commence son pistonnage. L’homme et moi ne sommes plus que des bâtons de chair sur lesquels elle se prend. C’est délicieux, beaucoup plus fort que d’être chevauché par une cavalière dont le cul est libre. Chaque fois qu’elle redescend sur nos troncs jumeaux et littéralement soudés, c’est comme la première fois, conduits étroits et pourtant maintenant ruisselants de ...
    ... mouille. L’homme jouit très vite. Je sens les saccades de sperme qu’il abandonne dans le cul de son épouse, et lorsqu’il se retire, mes couilles sentent la liqueur s’échapper et tomber sur elles. Il s’installe sur le canapé à côté de moi. Il est aux premières loges pour voir. Vanessa est plus libre de ses mouvements, elle peut amplifier ses va-et-vient, et par instant son agitation est si forte que ma queue retrouve l’air libre. Mais c’est juste l’espace d’une seconde, car queue et chatte semblent se ruer l’une vers l’autre. Je peux enfin me redresser et aller sucer ces pointes qui me tentent depuis le début et que je n’ai pu que caresser avec mes doigts pour les sentir vibrer. Elles sont encore plus grosses, et j’ai la pensée saugrenue qu’un bébé aurait bien du mal à se saisir du téton et tirer son lait maternel. Mais c’est autre chose pour moi. Je peux les pincer, les faire rouler sous ma langue, les étirer pour son plus grand plaisir. Je ne connais pas une femme qui ne soit pas ultrasensible des tétons. Certaines atteignent même la jouissance sans que le sexe soit caressé, uniquement par les seins, merveilles de la nature. Je n’arrive plus à me retenir. Mes couilles sont gonflées et doivent se vider au risque d’exploser. Un dernier effort. Une dernière contraction de contrôle et, et… Enfin ma partenaire jouit. Un frisson la parcourt tel un tsunami et ses lèvres laissent échapper un « C’est bon, oui… » qui est la meilleure de mes récompenses. Enfin je libère mes vannes. Un ...
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