1. Deux ados sous la tente (gay)


    Datte: 15/11/2018, Catégories: Gay Masturbation Première fois

    Il y a quelques années, je passais mes vacances au camping avec mes parents et j’avais sympathisé avec un mec à peine plus âgé que moi, Jean-Philippe. Il était sportif, beau mec et plutôt viril. Il avait l’accent du midi et se marrait tout le temps. On passait nos journées ensemble à rigoler, on parlait des filles qui nous plaisaient et rien ne me laissait penser qu’il pouvait être gay. Moi, je savais déjà que j’étais bi. J’avais eu des expériences avec deux filles mais jamais avec des mecs. Je me sentais encore bien trop timide pour essayer quoi que ce soit de ce côté-là mais ça ne m’empêchait pas de fantasmer à fond.JP me plaisait. Il avait un corps imberbe, des abdos bien dessinés et surtout un cul musclé que je ne pouvais pas m’empêcher de regarder dès que je marchais derrière lui. Mais bon, on était que deux bons potes et je savais qu’il ne se passerait rien avec cet hétéro pur-jus. En tout cas, c’est ce que je croyais jusqu’à un certain après-midi où nous avions prévu de nous retrouver à la piscine du camping. Ce n‘était pas la première fois que ça nous arrivait, on y passait beaucoup de temps mais cette fois-là je remarquais qu’il fixait régulièrement mon boxer. Je le gaulais deux ou trois fois en train de faire ça et à chaque fois il détournait le regard, gêné. Sur le coup, je n’y accordais pas d’importance mais en y repensant plus tard, mes fantasmes redoublaient en m’imaginant qu’il pourrait se passer un truc entre nous.Le lendemain, il me proposa de passer la nuit ...
    ... dans sa tente. L’idée m’excitait à mort, je l’imaginais déjà se changeant devant moi, espérant voir ses fesses ou un bout de sa queue. Après négociation avec mes parents, je pus lui dire « oui », à sa grande joie, et à la mienne aussi. Toute la journée, je repensais à la veille, quand je l’avais surpris à regarder mon boxer avec insistance. J’espérais comme un fou que ça se reproduirait dans la tente et que ça dériverait peut-être sur du concret. Et je ne fus pas déçu.Le soir, on se retrouvait donc dans la tente. On ne s’était quasiment pas vu de la journée, je ne sais plus pourquoi. L’ambiance n’était pas comme d’habitude, on rigolait moins, il y avait comme une gêne. La soirée ne se déroulait pas du tout comme je l’espérais. Vers 22h, le camping était silencieux et il proposa qu’on se couche. Il éteignit la lumière et mon rêve d’apercevoir les parties intimes de son corps s’envola. J’étais dégoûté. JP était allongé à 10 cm de moi, torse nu, en caleçon, sur son pneumatique. J’étais incapable de dormir et je sentais que lui non plus ne dormait pas.Au bout de plusieurs dizaines de minutes, il me demanda « T’arrives pas à dormir ? ». Je lui répondis que non. Il me dit que lui non plus et que quand ça lui arrivait, il se tapait une bonne branlette, remède radical. On rigola un petit moment de sa vanne jusqu’à ce qu’il ajoute, « non mais sérieux, tu veux pas que je te branle ? Tu me branles aussi un peu et puis après on s’endort, tranquille ».J’étais suffoqué par son culot et en ...
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