1. histoire d'un papa voyeur (1)


    Datte: 15/11/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... commenca en même temps à lui caresser les seins, le clitoris et obtint même qu’Amandine la laisse mettre un doigt dans son cul... Moi, je trouvais ça incroyablement excitant. Je passais et repassais les images enregistrées. Je me branlais et j’éjaculais plusieurs fois en regardant Amandine doigter le cul de sa soeur. Il me vint alors des pensées dont j’eu honte. Je me disais que ce qu’il leur fallait, à mes petites chéries, c’était une vrai bite. Une bonne queue d’homme, c’est quand même autre chose que des léchouilles de nana ou un gode en latex ! Mes filles avaient largement l’age d’y goûter. J’étais sûr qu’elles en crevaient d’envie. Et si cette bite c’était la mienne ? Les baiser un bon coup ? Pourquoi pas ?... J’en avais marre de me branler juste dans leurs petites culottes. Il était temps de passer aux choses sérieuses. Je me mis à en rêver. Bien sûr j’avais des remords, je me disais que j’étais leur père, que je n’avais pas le droit de faire ça. Hélas je ne pouvais m’empêcher d’y penser et la seule éventualité d’un jour enfoncer ma bite dans leurs petites chattes étroites m’excitait terriblement. La suite des événements allait cependant me donner l’occasion de réaliser ce superbe fantasme. Je savais que mes filles rentraient assez tôt du lycée, et qu’après un goûter traditionnel, elles se retrouvaient volontiers ensemble dans leur chambre pour discuter, écouter de la musique et parfois pour des séances de caresses qui devenaient vite assez torrides (j’avais mis aussi ...
    ... des caméras dans leurs chambres). Un jour je suis rentré plus tôt du boulot, sans prévenir. Ma femme n’était pas là non plus. Les filles pensaient donc être seules. Je savais que je risquais de les retrouver dans une situation délicate. Je suis donc rentré sur la pointe des pieds pour les surprendre. Ce jour là, je suis bien tombé : persuadées d’êtres tranquilles, elles s’étaient installées à poil sur leur lit. Tête bêche en 69, elles étaient lancées dans une délicieuse partie de cunnilingus. Avant de les déranger, je profitais quelques secondes du spectacle. Qu’elles étaient belles, mes filles ! Amandine était à califourchon sur sa soeur, la tête entre ses jambes. L’une et l’autre se lėchaient la chatte avec une gourmandise assez manifeste. — Mais ??? Les filles ??? Vous faites quoi là ??? Elle se sont redressées, complètement affolées, essayant tant bien que mal de cacher leur nudité avec leurs mains. J’ai joué le papa offusqué, furieux. J’ai menacé de tout dire à leur mère. Elles se sont mises à pleurer, m’ont supplié de ne pas les dénoncer à leur mère dont elle craignaient la sévérité. — Papa, papa ! Pas ça, s’il te plaît. On est désolées, c’est la première fois qu’on le fait... — Petites menteuses ! Je suis sûr que vous faites ça souvent ! Avouez ! Les filles restèrent sidérées, muettes de surprise, mais ne purent nier. Elles trouvèrent bizarre mon assurance, mais elle n’étaient pas en mesure de deviner que je savais tout grâce à mes caméras. J’ai alors joué le tout pour ...
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