1. L’épouse, l’amant, l’époux ! 4


    Datte: 15/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Une frustrante nuit d’étreinte l’époux dit à l’épouse qu’ils devraient user de l’abstinence pour durcir leurs libidos. Cela surprit l’épouse mais elle y consentit. La première nuit avant le sommeil elle l’appela dans la chambre où il la rejoignit complètement nu. Elle se trouvait assise sur le rebord du lit. Saisissant la petite prison ses ongles roses caressèrent les portions atteignables du pénis chaste. Chaque fois que les doigts aux roses manucures à travers les anneaux de la cage atteignaient le gland de l’homme la cage devenait un peu plus trop minuscule pour la verge qui s’allongeait, s’allongeait, s’allongeait, sans pouvoir s’étendre entièrement. -Elle est excitée ta bite ! Elle enfonçait un bout d’ongle rose dans l’urètre. -Oui ! Il grimaçait. Une sensation de plaisir l’électrocuta quand le bout d’ongle rose poussa de gauche à droite par l’entre de son gland. L’ongle rose sortit. La féminine main entoura les testicules puis les soupesa. -Tes couilles sont toutes rouges et lourdes ! Elle pressait ses bourses. -C’est parce qu’elles sont remplies de spermes ! -Elles sont déjà pleines ? -Oui. -Imagine leurs grosseurs pendant vingt ans d’abstinence ! Elle rigolait. Même s’il essayait il ne pouvait croire aux décennies d’abstinences que lui proposait son épouse parce que l’érotique moment capturait toute son attention et que son pénis crevait de ne plus pouvoir s’introduire dans un vagin. Le dessous de la robe de chambre grise dévoila des cuisses nues ensuite exposa au ...
    ... regard du chaste homme une culotte grise en soie, une culotte à la devanture ventrue que reniflait un vagin charnu. Les doigts roses saisirent la bite prisonnière puis caressèrent le gland rouge qui suffoquait contre les parois d’acier. Elle introduisit son majeur dans son vagin. Elle se gratta le canal vaginal. Son conjoint vit pâlir l’intime rose de son clitoris sous la caresse de sa main. Elle retira son doigt humide de ses chairs aux désirs. Il luisait comme si on venait de le vernir. Le doigt odorant atterrit sur le nez du mari. -Tu te souviens de cette odeur ? -Oui ! -Tu ne la sentira plus pendant longtemps ! -Oh Non ! Non ! Le doigt moite bâillonna ses protestations. Cette première nuit chaste il s’endormit facilement. La deuxième nuit les époux se rencontrent sur le lit où l’épouse en soutif et culotte rose replie ses mollets contre ses cuisses devant l’époux qui ne porte pour unique vêtement que sa cage de chasteté métallique. -Enlève ma culotte ! -À vos ordres Madame ! Les mains mâles attrapent les rebords de la culotte rose puis la décrochent de l’entrecuisse ensuite la font parcourir les longues jambes enfin la déposent délicatement sur le matelas. -Lèche ma chatte ! -Oui Madame ! Sa bouche goutte le vagin son nez respire le pubis. -C’est bon ? -Oui ! -Ça t’excite de me lécher ? -Oui ça m’excite ! -Tu lèches bien ! -Merci. -La cage t’a rendu meilleur lécheur ! -Peut-être. Sous sa langue et ses lèvres elle crie de plaisir et, voir qu’il avale ses muqueuses vaginales ...
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