L'INCONNU DU CINEMA (10)
Datte: 06/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Après cette bonne douche, je me suis apprêtée, j’ai enfilé la robe que le Maître affectionne particulièrement tout en restant nue en dessous. Puis j’ai attendu sagement, assise sur un des fauteuils de la chambre, observant le moindre détail de cet environnent feutré dans lequel je me sentais bien mais sans oublier que je devais rappeler mon mari. Je lui avais promis, mais il n’y avait pas de téléphone dans ma chambre, il me fallait donc attendre que l’on vienne me chercher. Cela n’a pas tardé et c’est Marc qui est venu, tout en me tendant la main il me dit : — Emilie, le Maître souhaite vous voir Le tutoiement était apparemment fini, me faisant comprendre que chacun se devait de reprendre sa place initiale. J’ai suivi Marc dans les couloirs, descendu les escaliers pour arriver devant une grande porte sur laquelle Marc a toqué. — Oui, entrez. La voix du Maître à raisonné, douce et puissante à la fois. Marc me fit entrer la première, face au Maître j’ai immédiatement baissé le regard, il était assis sur un fauteuil derrière un grand bureau au fond de la pièce. Derrière moi, la porte s’est refermé, Marc était reparti en me laissant seule face à mon destin. Le Maître me fixait, en tapotant sur le coté droit de son bureau il ma dit : — Venez ma chère, approchez…venez près de moi. J’ai contourné l’imposant meuble pour venir me coller à sa droite comme il me le demandait. Sa main droite s’est aussitôt glissée sous ma robe pour venir se poser sur un de mes mollets, doucement elle est ...
... remontée vers l’intérieur des cuisses pour venir constater la nudité de mes fesses. — J’ai cru comprendre que vous deviez appeler votre époux afin de le rassurer. — Oui, monsieur…si cela est possible — Mais bien sur, tenez prenez ce combiné Il venait de m’indiquer le téléphone trônant sur son bureau mais ne retirait pas la main qui me palpait les fesses. — Merci monsieur, mais…c’est que… — Ne vous en faite pas pour moi, appelez votre époux et faite comme si je n’étais pas là. — Mais…c’est que je…suis gênée…et il va surement… le ressentir. — Si cela ne vous convient pas, alors je ne vous retiens pas ! — Non…monsieur…oui, vous avez raison…je vais l’appeler J’ai composé fébrilement le numéro de la maison, en tremblant légèrement j’ai porté le combiné à l’oreille pour entendre les sonneries. Dring…dring…dring…. — Allo ? — Bonsoir…chéri… — A mon amour, c’est toi…je commençai à m’inquiéter, comment tu vas ? — Bien…très bien, je viens juste de rentrer — He ben, ça te fait des sacrés journées…j’espère que tu n’es pas trop fatiguée ? — Non, ça va…ne t’inquiète pas…tout va bien Malgré ma bonne apparence, la gêne s’installait en moi car le Maître prenait un malin plaisir à me caresser les jambes de haut en bas, s’attardant sur la peau satinée de l’entre cuisses. — Tu as la voix tremblante, t’es malade ? — Non, non… tout va bien, je t’assure, c’est que…je viens de prendre ma douche et … je me sens toute molle. — Alors dit moi, tu as mis quelle petite robe aujourd’hui ? Je sentais le ton ...