1. Marie-Hélène et les garçons (4)


    Datte: 15/11/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    J’émerge vers les dix heures, c’est dire si mon équipée d’hier soir avec les deux frangins m’a fatiguée. Rien en bouge dans la maison. Je sors acheter de quoi préparer un petit déjeuner version hôtel quatre étoiles. La boulangère me félicite sur mon teint et ma mine. Je la remercie sans mentionner les raisons exactes de mon excellente humeur. A mon retour, je tombe sur les deux galopins qui émergent lentement. Ma vue les ragaillardit. Ils m’embrassent à tour de rôle à bouche que veux tu, tout en me caressant. L’inhibition de l’inceste semble les avoir définitivement abandonné, si tant est qu’elle les ait gêné à un quelconque moment. Je ris en me disant que notre assemblée ressemble franchement plus à un couple triangulaire qu’à une réunion de famille. Après le déjeuner, tandis que je débarrasse la table sous les assiduités des deux jumeaux, Alex, décidément toujours lui, me déclare qu’ils aimeraient profiter de dame nature, leur vie parisienne ne leur procurant pas ce genre de plaisir. Ils n’ont pas envie de faire beaucoup de route et me demande ce que je pense du parc de la Briantais qui se trouve juste au sud de la ville, pas loin du barrage sur la Rance. Je leur dis que cela me convient tout à fait. Nous réunissons de quoi faire un pique nique et nous voilà partis Pour y accéder il faut prendre la départementale 168 en direction de Dinard puis prendre la petite route sur la droite, 2 kilomètres avant le fameux barrage. Il y a là un parking pour les camping cars dont on ...
    ... dit aussi qu’il sert de lieu de rendez-vous pour les couples libertins. Je me demande si mes neveux n’en ont pas entendu parler. Alex qui commence la conduite accompagnée se charge de nous conduire tandis que j’assure le rôle de copilote. Je le guide facilement jusqu’à l’aire de stationnement. De là on a une vue panoramique sur le fleuve en contrebas. Mais je sens que ce n’est pas vraiment cela qui motive les jumeaux. Il y a une dizaine de camping cars, plus quelques voitures de promeneurs. Nous nous garons un peu à l’écart, récupérons notre frichti et nous engageons sous les futaies direction la Rance. Nous n’allons pas bien loin. Nous nous installons dans un morceau de pré bordé de taillis sur trois de ces côtés, le dernier étant ouvert sur la vallée de la Rance qui nous fait face. Nous savourons une bouteille d’un bon champagne que j’ai emmené pour l’occasion. Le temps est bien meilleur qu’hier et je me décide à enfiler mon fameux maillot rose, celui qui plaît temps à mes neveux. Je leur fais aujourd’hui, le temps de l’effeuillage, le plaisir de leur présenter mon côté face, ce qui les ravit. Eux mais sans doute d’autres car j’ai aperçu en me relevant deux ou trois silhouettes masquées partiellement par les feuillages. Cet endroit semble regorger de voyeurs, ce qui semble logique au regard de sa réputation. Pas plutôt assise, je sens les doigts d’Alain s’insinuer sous la bretelle gauche de mon maillot. Il la fait glisser le long de mon épaule et fait jaillir mon sein de son ...
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