Le réveil
Datte: 15/11/2018,
Catégories:
fhh,
extracon,
copains,
grossexe,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
fdanus,
fsodo,
confession,
... dégage. Il m’arrive souvent d’avoir envie de me réfugier dans ses bras pour vérifier qu’il est aussi doux qu’il le laisse paraître (mais aussi pour goûter peut-être à d’autres plaisirs beaucoup plus… intimes !). En résumé, je me laisserais volontiers aller à partager quelques heures avec mon beau Jeff. Qu’est-ce qui me retient, me direz-vous ? La peur d’une indiscrétion tout simplement, car lorsqu’on exerce mon métier, il faut à tout prix éviter les ragots. Et pourtant… me voici allongée contre lui, dans mon lit ! Revenons à hier soir… C’est pour eux l’heure de l’apéritif, car ils ont décidé d’aller dîner dans un petit restaurant qui sert des spécialités régionales. Chez moi, le service du soir est terminé et je m’apprête à fermer. Ces messieurs boivent du whisky, et nous, les femmes, du crémant de Bourgogne. On rit, on parle, certaines plaisanteries sont parfois limite mais l’ambiance est excellente, décontractée. Coco me propose de les accompagner au restaurant ; ils m’invitent ! Alain, mon mari, une fois de plus n’est pas là ce soir, parti s’occuper de divers problèmes chez ses parents. J’ai donc tout mon temps. De plus, ce n’est pas moi qui ouvre demain : j’aurai l’occasion de faire la grasse matinée. J’accepte l’invitation. Nous dînons tranquillement, toujours dans une excellente ambiance. À la fin du repas, je les invite à venir tous prendre le café et un verre à la maison. Quelques minutes plus tard, nous sommes chez moi. Après une bonne heure passée dans mon salon à ...
... plaisanter en buvant la bouteille de champagne qu’avait rapportée Coco, nos amis Sylvie, Céline, Daniel et Robert repartent. Coco et Jeff prétextent ne pouvoir conduire sans avoir bu un café pour rester un peu plus. Un petit tour dans la cuisine pour allumer la cafetière, disposer trois tasses sur un plateau, le sucrier, et je rejoins le salon. — Ici, nous ne sommes plus au restaurant ; donc, Messieurs, c’est à vous de vous occuper du café. Moi, je suis votre invitée !— Pas de souci, dit Jeff ; je me charge de tout ça pendant que Coco porte les verres vides au lave-vaisselle.— OK ! Chacun sa corvée, et nous allons servir notre trop belle Kris. C’est parti ! répond Coco en se redressant pour faire disparaître tout ce qui encombre la table basse. Mes invités font diligence : mon café m’est servi avec une rapidité qui me fait douter de leur état d’ébriété (oh, les coquins… !) ; mes doutes finissent de s’estomper lorsqu’ils prennent place à mes côtés, m’encadrant étroitement au creux du large canapé. Le café nous éveille un peu… J’avoue que j’aimerais assez voir Coco partir, même si je l’adore, car la présence de Jeff a tendance à me faire fantasmer jusqu’à sentir une douce chaleur sourdre au creux de mon ventre, remonter jusqu’à mes seins dont les pointes réagissent en se durcissant pour terminer dans ma tête, me laissant plein d’envies lubriques à l’esprit. Hélas, rien ne se passe comme je le souhaite. À tel point que Jeff se redresse, me demande l’autorisation d’utiliser les ...