1. Pour Anna (1)


    Datte: 16/11/2018, Catégories: Lesbienne

    Le mariage de Anna et Santino avait été décrié. Lui, le riche entrepreneur cinquantenaire, se mariait avec une toute jeune femme d’une vingtaine d’années la propulsant ainsi dans le bain du « grand » monde. Mais c’était un vrai mariage d’amour. Anna et Santino était réellement amoureux l’un de l’autre. Aussi quand, suite à une maladie foudroyante, Santino disparut quelques années plus tard, Anna se retrouva seule. Une trentenaire seule avec l’argent de son mari dont les affaires, maintenant gérées par Fabio, un homme choisi par ses soins, étaient florissantes et une grande maison. De plus, pour ajouter à cette mauvaise période, certains des gens de maison la quittèrent. Anna se mit alors à la recherche d’une nouvelle servante. Et c’est ainsi que Lorella, appuyée par Fabio, se présenta dans la grande demeure. Le courant passa très vite entre la jeune femme et Anna qui finit par l’engager. A trente ans, l’envie de plaisir était toujours bien présente pour Anna. N’ayant plus son amour auprès d’elle, Anna devait trouver d’autres satisfactions. Aussi, seule dans sa grande chambre, Anna se laissait de temps en temps aller à quelques caresses solitaires. Ses doigts tournoyaient sur son petit bouton ou s’immisçaient entre ses grandes lèvres charnues à la toison qu’elle avait laissé volontairement abondante pour le plaisir de son feu mari. De son autre main, elle caressait sa poitrine douce et imposante, un beau 100D qui plaisait tant à Santino. Elle aimait à entrer ses doigts dans ...
    ... son sexe brûlant et humide. Elle se fouillait laissant quelques fois échapper des gémissements de plaisir. Et elle jouissait des caresses qu’elle se prodiguait. Un soir, alors qu’elle venait de jouir, elle rouvrit des yeux encore embués de plaisir sur le visage de Lorella qui l’observait. « Qu’est-ce que tu fais là ? — Je regarde Madame. Vous êtes très belle. — Merci… Mais ce n’est pas une raison pour venir m’espionner. — Je ne vous espionnais pas Madame. Je vous regardais sans même me cacher. » Cette intrusion de sa servante dans sa vie intime perturba Anna. Elle en voulait à Lorella d’être entrée dans sa chambre. On n’entre pas dans la chambre de sa patronne. Ça ne se fait pas. Pourtant… Pourtant, elle ne pouvait s’empêcher de penser à ce qu’elle avait vu. Et l’idée d’être vue ainsi, nue, livrée, en plein orgasme lui fit de nouveau bouillir le sang. Anna ne put s’empêcher, cette nuit-là, réveillée par ses bas instincts, de refaire danser ses doigts sur elle. Elle jouit une seconde fois en pensant aux yeux de Lorella rivés sur son plaisir. Pendant les jours et le semaines qui suivirent, Anna ne pouvait plus croiser Lorella sans s’imaginer que celle-ci pensait à son corps nu. Elle ne pouvait détacher de son esprit le plaisir qu’elle prenait en s’imaginant observée… Car elle se caressait de plus en plus souvent. Elle finit par comprendre qu’elle voulait que Lorella revienne la voir alors qu’elle se masturbait. Un jour, elle finit par prendre son courage à deux mains. « Lorella ! ...
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