1. Un sexologue pervers (2)


    Datte: 16/11/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... correct ; je vais l'enlever.Ceci fait, il se badigeonna le doigt d'une bonne dose de lubrifiant et l'enfila progressivement – mais d'une seule poussée – le plus loin qu'il put dans le rectum de Sarah et se mit à effectuer des mouvements de rotation, comme s’il cherchait quelque chose de précis. La jeune fille ressentit une intense tension sexuelle ; son corps se mit à vibrer de plaisir.— Oui, c'est bien ça : il y a quelque chose de particulier, à cet endroit-là. Pour m'en assurer, je vais devoir ajouter un doigt.— C'est vous le docteur ; faites ce qui vous semble le mieux pour moi.Le médecin ne put s’empêcher de prendre la balle au bond :— Ce qu'il y a de mieux pour vous, Mademoiselle ? Mais comment donc...Il introduisit délicatement son index et son majeur dans l'ouverture qui n'opposa aucune résistance et se mit à masser l'intérieur du conduit qui s'élargissait de plus en plus sous ses caresses profondes.— Oui, voilà, c'est là !Et c'est sans scrupule qu'il se mit à masser la zone G à travers la fine paroi séparant le rectum du vagin de l’adolescente. L'effet ne se fit pas attendre : un filet de cyprine se mit à sourdre des petites lèvres violines et engorgées qui dépassaient à présent largement de la vulve de Sarah. Le liquide visqueux coulait sans retenue le long de sa cuisse...— Hmmm… Ooooh, Docteur...L'excitation était trop forte : Sarah ne pouvait plus se contenir et soupirait de plus en plus fort, se laissant doigter avec complaisance. Le corps dominé par le plaisir, ...
    ... elle se laissait branler par ce docteur âgé qu'elle ne connaissait que depuis quelques minutes, et elle trouvait cela délicieux !La vue de cette vulve suintante rendit le praticien fou de désir. Perdant toute retenue, il retira ses doigts du rectum, les remplaça par son pouce, et sans vergogne les enfila dans le vagin détrempé de la jeune fille. Il se mit à exercer de douces pressions dans le ventre brûlant, utilisant sa main comme une tendre pince.Ne pouvant résister plus longtemps, il avait sorti sa verge et se branlait maintenant ouvertement devant la croupe somptueuse de la jeune fille ; il n’avait qu’une crainte (ou peut-être était-ce ce qu’il espérait, il ne le savait pas lui-même…) : c’est qu’elle tourne la tête et le voie en train de s’astiquer le manche. Comment réagirait-elle ? Il continua néanmoins ses va-et-vient obscènes. Sentant le plaisir monter le long de ses reins, il s’apprêtait à se répandre sur ce cul admirable ; ce n’était plus qu’une question de secondes…Sarah n'en pouvait plus de plaisir ; ce médecin la rendait folle : elle n'avait jamais pris autant de plaisir. La tentation était trop forte : il fallait qu'elle le regarde la doigter, elle avait besoin de poser son regard sur lui.C'est lorsqu'elle se retourna qu'elle l'aperçut en train de se branler. C’était choquant, mais elle ne pouvait s'empêcher de regarder sa bite.— Oh, mon Dieu ! Docteur !— Je... je suis désolé, Mademoiselle ; c'est plus fort que moi, vous êtes tellement belle…Vous m'avez rendu fou ...